1. Souffler n'est pas jouer (1)


    Datte: 10/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bras puissants, qui la portent pour la déposer sur la table. Son dos posant sur le feutre du tapis, elle se retrouve les jambes surélevées et sa jupe ouverte par elle ne sait quelles mains, ne la recouvre plus de son abri protecteur. Sa culotte file le long des mêmes cuisses, et elle est entièrement à leur merci. Ils sont doux, tendres et elle apprécie les attouchements qui n’en finissent plus de la faire soupirer. L’un d’eux lui a pris les chevilles, lui levant les deux jambes, son derrière étant juste à fleur du bord de la table. Le rebord de celle-ci lui scie un peu le bas des reins, mais c’est supportable. La bouche qui soudain vient se nicher dans la fourche ainsi obtenue lui fait un drôle d’effet. C’est surtout la langue qui monte et descend tout au long de la faille maintenue écartée par deux bras énergiques. La pointe baveuse de la limace qui joue sur toute la longueur s’insinue encore plus loin, plus profondément dans la raie qui cache la petite rosette brune. Caroline halète littéralement alors que la flèche pousse la porte de cet antre sombre, jouant avec les muscles qu’elle fait se détendre doucement. Elle ne fait rien pour empêcher Ray de venir, aussi nu qu’un ver, s’étendre près d’elle sur le vert du tapis. Il enfonce sa tête dans la fourche que le troisième comparse tient toujours béante. Pour se faire, il se met à califourchon sur le visage de notre malheureuse perdante, laquelle a sur le front, les yeux, le nez, une verge bien dressée, et les deux testicules ...
    ... qui collent à cette dernière. Les sensations sont telles que le mélange de ces deux langues masculines qui occupent toutes deux un orifice différent la font suffoquer. Et cette envie se traduit par un léchouillage de cette bite qui lui taquine la figure. Elle aussi écarte ses lèvres l’une de l’autre et elle laisse le pieu s’enfoncer dans sa gorge. Au passage, elle laisse sa langue frôler toute la longueur de ce mat qui tressaute en elle. Elle en éprouve un plaisir malsain, un incroyable petit bonheur. Celui qui lui titille l’anus se laisse couler sur le côté, libérant la place pour l’homme qui lui maintient les jambes levées en lui tenant les talons. Elle tente de crier son plaisir alors que dans sa bouche la bite va et vient de plus en plus vite et que sur sa chatte Ray continue ses incessants allers et retours. Elle sent que son sexe se tord sous l’envie. Elle ne ressent aucune douleur quand celui qui lui soulève les jambes pointe son rectum. Elle n’a qu’un soupir alors qu’il s’enfonce jusqu’à la garde dans l’étroit canal, lubrifié par la salive et sa propre mouille. Ray a en gros plan une vue sur cette intromission hors norme et il bande en conséquence. Le dernier homme lui, assiste, halluciné à ce spectacle auquel il n’aurait pas cru une heure plus tôt. La femme avance elle-même son cul sur la queue qui s’engouffre dans son derrière. Elle ne lâche pas la flute qui reste entre ses lèvres. Le spectateur voit la poitrine de la brune qui monte et descend, il n’en peut plus et ...