-
Souffler n'est pas jouer (1)
Datte: 10/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... redressés. Ray qui venait de se faire à l’idée d’avoir perdu cette partie n’y croit pas. Il ne dit pas un mot, oscillant entre déception et joie. Merde. Cette croupe qu’il convoitait depuis le début des hostilités lui paraissait... plus lointaine que jamais. Et pourtant ! — Bien Messieurs, j’ai donc perdu. Dites-moi ce que vous attendez de moi ! Je paierai mes dettes. Caroline vient de dire cela la mort dans l’âme. Elle sait bien qu’un jeu est un jeu et que perdre entraine des conséquences inattendues. Elle finit sa vodka qui traine depuis le début du rack sur une petite table, pas loin d’elle. Elle tente de se fermer au monde extérieur. Ce n’est pas elle qui se trouve ici, c’est une autre, une folle qui ne lui ressemble pas. Mais elle se doit d’honorer sa parole. Elle ne remarque pas les trois hommes qui discutent dans un coin, sans oser la regarder. Puis elle sursaute à peine quand Ray lui pose une main sur l’épaule. Elle a des larmes dans les yeux quand elle se retourne vers lui, qui debout attend sans doute qu’elle digère. — Je suis désolé... vous avez pourtant magnifiquement joué. C’est un peu la faute à pas de chance. — C’est bon ! Je ne vais pas en mourir. Finissons-en rapidement, voulez-vous. Ordonnez et j’obéirai. — Je ne suis pas un sauvage ! Un peu de calme. L’enjeu était votre corps et c’est bien de vouloir payer vos dettes. J’aime assez l’idée que vous soyez disposée à vous offrir à nous. Il ne vous sera fait aucun mal. Nous avons seulement envie de faire ...
... l’amour avec vous. Vous comprenez ? — Bien sûr ! J’ai joué, j’ai perdu, je paie et ensuite on ne se connaît plus. Comment pratique-t-on ? — Le mieux serait sans doute que vous vous déshabilliez maintenant non ? — Vous préférez que ce soit par le haut ? Par le bas ? — À votre guise. — On fait cela ici ? — On n’est pas si mal et puis nous aurions envie d’inaugurer la table, ça vous embête ? — Ici ou ailleurs ! Pour moi, c’est pareil, je vais passer à la casserole de toute façon. Vous avez aussi raison. Le billard m’a perdu, alors autant qu’il me serve de couche. Comme ça, lui aussi aura sa part du butin. Caroline a entrepris d’ouvrir le bouton de son chemisier. Ils sont les trois à observer sans dire un mot cet effeuillage. Quand elle retire le vêtement, ils ne baissent pas les yeux et elle sent la chaleur de ces regards sur son soutien-gorge. Elle se sent bizarre, alors qu’elle dégrafe ce qui masque encore ses seins. L’un d’entre eux, peu importe lequel, elle s’en moque, lui demande d’arrêter et il s’avance vers elle. Elle suspend donc l’envolée de sa jupe alors que l’individu est tout proche d’elle. Dans sa main, il a ramassé la chemise et il porte à son nez la pièce vestimentaire de la dame. uaouppyv Elle sait bien qu’il doit avoir l’odeur de sa transpiration dans les narines. Ou peut-être n’est-ce qu’une vue de son esprit. Nue de toute la partie haute de son corps, elle frissonne et la chair de poule que cela entraîne est sûrement bien visible par tous. Sous ce légitime ...