Ma colocataire (6)
Datte: 11/06/2020,
Catégories:
Lesbienne
... jeunesse, l’intelligence et la beauté. P.-S. : N’ayez aucune crainte, nous ne vous toucherons pas. » Au bas du pont, Magalie me prit par le bras, se pencha vers moi : — En y réfléchissant bien, j’ai eu un coup de génie l’autre jour dans le métro, en te demandant de me montrer ta chatte toute mouillée. Si je ne l’avais pas fait, nous serions obligées de dîner au foyer vendredi ! — Attends, on va en discuter, lui répondis-je. D’abord, il faut que je trouve un coin tranquille pour enlever mon slip. Elle secoua la tête, rétorqua qu’il n’en était pas question. Elle seule avait le droit de me l’ôter, où et quand elle l’avait décidé ! J’ai donc gardé ma culotte trempée d’urine. Nous avons fait à pied une partie du chemin pour rentrer au foyer. Paris était féerique en ce début de soirée. En marchant, je sentis que la tension nerveuse provoquée par l’exhibition offerte à l’inconnue se relâchait. Ma copine, elle aussi se détendait, la pression de son bras sur le mien devint moins forte. J’avais une très grosse envie de faire l’amour. Nous sommes arrivées au foyer juste avant la fermeture de la cantine. Les nanas de la prépa HEC nous virent passer en courant, échevelées. Nous eûmes le temps de lire de la réprobation sur leurs visages. — Si elles pouvaient inspecter nos dessous, me pouffa Magalie, imagine leurs têtes ! Dans la chambre, Magalie me fit asseoir sur ma chaise, les jambes écartées, et elle se mit à genoux devant moi. — La jupe était parfaite, elle avait juste la longueur ...
... qu’il fallait. Oh, ta culotte est transparente. Très joli. Elle a dû être contente, la femme... Fais-toi jouir en repensant à nos exploits. Comment résister à une telle invite ? Ma main s’inséra entre l’étoffe encore mouillée et ma peau. Je prenais mon temps afin de faire durer notre plaisir. Magalie respira plus fort quand je me mis à masser mon clitoris. Je le fis saillir ensuite, en le pinçant entre mes deux doigts ; de l’autre main, j’écartais le tissu pour permettre à Magalie de mieux voir mon intimité. La réaction que j’espérais ne se fit pas attendre : ma copine se pencha, sortit un bout de langue qu’elle passa et repassa dans mon vagin. La jouissance vint très vite. Magalie ne m’autorisa à enlever ma culotte qu’au moment du coucher. J’ai foncé alors à la douche. Quand je revins, la chambre était vide. Je finissais de préparer mes affaires pour le lendemain quand Magalie refit son apparition, toute agitée. — Je l’ai prise en flagrant délit, et avec toi en plus ! — Comment ça ? De qui, de quoi tu parles ? J’eus l’explication que j’attendais, formulée d’une voix haletante. Quand je suis partie me doucher, ma copine, qui avait décidé de faire de même, me suivit quelques minutes plus tard. Notre vieux bâtiment est équipé de sanitaires collectifs, douches d’un côté et toilettes de l’autre, comme dans un camping, mais en plus grand et en plus vieux. Les locaux restent allumés en permanence, ce qui n’est pas le cas de l’interminable couloir qui y mène, doté d’une minuterie. ...