1. Bérengère


    Datte: 03/10/2017, Catégories: fh, fplusag, religion, poilu(e)s, bizarre, odeurs, intermast, Oral pénétratio, fdanus,

    ... bientôt les deux mains, malaxant avec l’une et dégrafant avec l’autre. Georges, sur l’album, assistait à nos ébats avec la bienveillance du papier glacé, il reluquait sa gourdasse en train de se pencher vers ma tige enfin libérée. « Je dois sentir fort de la bite », me suis-je dit à cet instant précis, comme si ça pouvait avoir un sens. Ceci dit, par ailleurs, j’en avais vraiment honte. Une panne de chauffe-eau, cela faisait bien quatre ou cinq jours que je ne m’étais pas lavé. Mais, comment prévoir à l’avance ce qui allait se passer ce soir-là ? Une chance sur dix-mille qu’une telle chose arrive avec cette femme là. Malgré cette odeur forte, elle semblait vraiment apprécier, elle humait mon gros dard sans pour autant le lécher et, avec ses deux mains, elle le caressait. Cela dura bien quelques minutes, les effluves de ma tige me montaient jusqu’aux narines. Et, à sa place, cela devait véritablement empester. J’étais plutôt gêné. Cela ne l’empêcha nullement d’avaler ma pignole. Elle l’engloutit d’un trait, toute entière, jusqu’à la garde, sans l’ombre d’une hésitation, au risque de s’étouffer. Quoiqu’il en soit, de ma place de spectateur, son gros bouton poilu sur la joue restait pour moi, quand même, des plus énigmatiques. Par la suite, elle se retrouva à genoux entre mes jambes, elle continuait de me pomper, l’album était tombé quelque part, Georges nous avait presque quittés. Pas tout à fait d’ailleurs car lorsque, par hasard, elle arrêtait de sucer, ce n’était que pour ...
    ... dire : — Georges, oh Georges, Dieu nous regarde. Mais elle reprenait néanmoins de plus belle, avalant sans complexe ma pine en malaxant mes couilles juteuses. Salope bien cachée… mais ce sont toujours les meilleures et les plus salaces. Pourtant, modérant mon enthousiasme, c’est vrai que celle-ci me prenait un peu, au fond d’elle-même, pour un lointain défunt. A ce rythme là, je ne tardai pas à exploser, de longs jets de sperme chaud qu’elle engloutit sans rechigner, et jusqu’à la dernière goutte. — Ohh Georges. Georges ! Comme tu es bon, comme tu sens bon. Et, tandis que je hasardais mes mains sur sa poitrine, elle reprit de plus belle et me gratifia d’une pipe d’experte pour me redonner un semblant de vigueur. J’eus toutes les peines du monde à dégrafer cet inextricable imbroglio de tissu pour extraire ses divines mamelles. Celles-ci étaient vraiment très molles et toutes tombantes, mais elle avait aussi des bouts très gros, charnus et tout durs. Je les fis rouler entre mes doigts ce qui la fit immédiatement gémir. Et, lorsque je me risquai à lui pincer, elle cria presque, en me gratifiant d’un long « GEORGES ! » de plaisir non dissimulable. La bigote était sensible des tétines. Je lui en remis trois ou quatre couches et à chaque fois elle hurla sa jouissance à coup de grands « Georges ! » lubriques, et pour le moins pathétiques. Elle devait avoir la chatte en feu et ma bite était à nouveau toute dure. J’étais parvenu plus ou moins à me redresser pendant qu’elle me léchait et ...
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