1. Bérengère


    Datte: 03/10/2017, Catégories: fh, fplusag, religion, poilu(e)s, bizarre, odeurs, intermast, Oral pénétratio, fdanus,

    ... je réussis à saisir sa jupe. D’un geste habile, je l’ai troussée d’un coup et là : nouvelle surprise ! Contrairement à ce que j’aurais pu penser au départ, la Bérengère ne portait pas de collant mais un porte-jarretelles et une vieille paire de bas. L’ensemble était, bien sûr, d’allure vieillotte et désuète, un peu à l’image de la lingerie du siècle dernier. Elle me faisait aussi penser à toutes ces gourgandines qui rôdaient parfois dans les saloons. Dans ce contexte, je trouvais ça vraiment très excitant. Ma main glissa dans sa culotte pour palper son gros derrière : — Georges, oh, Georges Puis je fis le tour de ses hanches, et mes doigts glissèrent dans une toison particulièrement drue, de longs poils durs et emmêlés qui, autant que je puisse en juger, étaient trempés de mouille. Peu à l’aise dans cette position, je retirai bientôt ma main et la portai à mes narines : Elle sentait bon de la chatte. Elle sentait fort de la chatte. — Ohhhh, Georges ! Georges, il n’avait qu’une envie, celle de baiser sa vieille cochonne. Il s’ennuyait ferme dans sa tombe, et maintenant il avait du temps à rattraper. Quant à elle, sa follasse, elle a vraiment besoin d’un sacré coup de bite, ça lui remettrait peut-être les idées en place ! D’un geste ferme, je me suis relevé, l’obligeant à abandonner ma queue qu’elle n’avait pas lâchée une seule seconde, depuis le début de cette incroyable prise de bec. Je l’ai contournée, je l’ai invitée à plonger la tête vers le fauteuil puis, le temps de ...
    ... baisser mon futal, je l’ai emplafonnée en écartant son slip. Sa chatte était remplie d’un bon jus gouleyant et ça faisait un flic-flac du tonnerre. — Georges, oh, mon Dieu ! Des tonnes de Georges sortaient désormais de sa bouche, tandis que le gros chibre de son Georges chéri l’empapaoutait avec vigueur, il lui perforait les boyaux, il lui ramonait la matrice. Et le vrai Georges dans tout ça, il ne savait pas du tout ce qu’il perdait, tant il est vrai qu’elle était bonne à tringler cette cochonne et qu’elle appréciait les coups de bite à leur juste valeur. Entre les « Georges », elle ahanait des mots sans suite, mélange de bondieuseries et de soupirs de jouissance, chaque coup de queue semblait la mettre en transe. Et lorsque, dans un ultime effort, je me suis épanché en elle, elle s’affala sur le tapis, le cul dressé en l’air et resta ainsi prostrée, dans une position des plus obscènes, pendant de longues minutes. — Mon Dieu, Georges, murmurai-t-elle dans son délire. Son anneau brun était aux premières loges. Dommage car je ne bandais plus, sinon j’y aurais bien goûté également. Mouillant mon index, je me risquai à y oser une phalange et bientôt tout un doigt. Elle en couina encore plus et redoubla de « Georges » tandis que mon doigt fripon allait et venait dans son gentil popotin. Et puis, finalement, je l’ai laissée. Elle semblait totalement épuisée. Elle restait ainsi prostrée et confinée dans son propre monde. J’en ai profité pour me rhabiller et pour discrètement m’en ...
«12...4567»