1. Réconfort & vieilles dentelles. III. La location d'été (3)


    Datte: 20/06/2020, Catégories: Hétéro

    ... visage dans son cou. Je sentis sa main gauche se poser sur ma tête et me caresser les cheveux. J’avais gagné ! J’enserrai alors son ventre de mes deux bras, le pressant, le massant, et mes mains montèrent vers ses seins ; je les pris à pleines paumes : ils avaient un beau volume, comme je l’avais subodoré, et je me mis à les masser lentement, les gratifiant de pressions croissantes. Je sentis les pointes durcir sous le tissu, et je pris un malin plaisir à les agacer, les prenant entre pouce et index. Je sentais ses grosses fesses onduler sous la robe, et j’essayais d’y caler me bite, bien dans le sillon. Je n’y tins plus : je pris le mince vêtement de coton et le remontai d’un seul coup, jusqu’en haut. Elle leva ses bras pour le faire passer et s’en débarrasser. Elle se retrouva nue, avec juste ses sabots aux pieds. Car elle ne portait pas non plus de culotte, la cochonne ! Quelle salope. Baba cool au pas, parisienne enseignante en retraite qui était venue vivre en province, elle était venue rendre visite à son locataire le soir nue sous sa robe ! Ça ne pouvait pas être seulement pour se sentir plus à l’aise. Je commençai à me branler entre ses grosses fesses, mes deux mains bien remplies par ses gros nichons mous, tandis qu’excité comme jamais je lui mordillais l’épaule. Je voulais l’entraîner à l’étage mais elle se rappela soudain qu’on l’attendait à 50 mètres de là ; non pas qu’elle semblât prise de remords mais avait apparemment peur d’éveiller les soupçons en prolongeant ...
    ... sa visite, et peut-être que son mari débarque. Alors elle me dit : « - Non. Pas le temps. Prends-moi vite là, maintenant ! » Elle semblait très excitée, et sa peur n’avait apparemment pas pris le dessus ; c’est comme si elle avait besoin de satisfaire une envie pressante, et d’en finir, de se faire saillir là, rapidement. Je la courbai sur la table, appréciant au passage la belle forme de la croupe ample, lui fis écarter ses cuisses pleines, et je fis jaillir ma queue raide de mon short pour la présenter directement à l’orée de sa belle fente. Positionnant le gland au bon endroit, je posai mes deux mains sur ses hanches, emprisonnant le bassin, et je l’enconnai d’une seule poussée. « AAH… OUI… » soupira-t-elle avec satisfaction, comme si elle venait d’accueillir le Messie. Soucieux de répondre à son souhait de « faire vite », je me mis immédiatement à lui asséner des grands coups de rein, et elle dut agripper la table et tenir bon sur ses jambes pour ne pas s’écrouler. J’accélérai rapidement le rythme, la besognant avec force ahanements, lui arrachant des « AAAH » irrépressibles à chaque coup de boutoir, mes mains lui serrant comme des serres sa large taille. Pour une fois qu’une femme demandait de la baiser vite fait bien fait, je n’allais pas me faire prier, et j’en avais tellement envie, il y avait tellement longtemps que je n’avais pas fait l’amour que c’est joyeusement et avec vigueur que je la pilonnai sans retenue, et sans essayer de retarder la montée de mon plaisir. ...