Six "sions" pour une scission. (2)
Datte: 22/06/2020,
Catégories:
Transexuels
... aujourd’hui. Mais depuis quelques années, Robert a perdu de son sex appeal auprès des femmes, comme tu auras pu le remarquer ce soir, et il n’a jamais cessé de vouloir recoucher avec moi depuis notre rupture, ce que j’ai toujours refusé… — Oulala ! Quelle histoire ! J’admire ton courage, mais aujourd’hui, tu es la reine, j’ai cru comprendre que tous les hommes ici rêveraient de coucher avec toi. — Oui, ma chérie, merci. Mais s’il y a bien un homme ici qui ne m’aura plus jamais, c’est bien ce vieux con de Robert… Et je te conseille de le fuir, car je vois en toi beaucoup de celle que j’étais lors de ma rencontre avec Robert… Attention le voilà ! N’oublie pas ce que je t’ai dit. » Et Monsieur récupéra la poignée de ma laisse, tandis que Lucille s’éloignait. J’étais toute travaillée par ce qu’elle venait de me raconter. J’avais bien compris le pouvoir de persuasion de Monsieur, et il était évident qu’il avait la même emprise sur moi. Mais un je ne sais quoi d’idiot chez moi instaurait une sorte de complaisance dans cette situation. Être la chose de Monsieur m’excitait au plus haut point, et même si je mourais d’envie de me jeter sur toutes les bites qui me tournaient autour ce soir, il était hors de question que je désobéisse à Monsieur. 3h du matin, la soirée est entrée au paroxysme de la dépravation. Tout le monde trouve chaussure à son pied, ou plutôt bouche à sa langue, ou trou à sa queue. Sauf moi… et Robert qui regarde justement, vert de rage, la belle Lucille entraînant ...
... deux jeunes hommes dans une pièce isolée, dans un but évident. Juste avant qu’elle ne ferme la porte derrière elle, je croise furtivement son regard, triste mais contente pour elle. Mais moins d’une minute plus tard, je la vois sortir, le chemisier entièrement déboutonné, et se diriger vers nous. « Viens Robert, dit-elle alors. Ce soir je suis à toi. Va t’amuser, ma chérie. » Ne souhaitant pas décevoir Monsieur, je le consulte du regard. « T’as entendu Lulu, espèce de pouf ? Va t’amuser et fous-nous la paix ! » Monsieur défit alors ma laisse, et s’éloigna avec Lucille, dont le regard était triste à son tour. La pauvre, elle faisait cela pour moi. Elle se livrait à son bourreau pour me libérer du mien. Je ne la connaissais que depuis quelques heures mais déjà je savais que de forts liens d’amitié réciproque s’étaient noués entre elle et moi. A peine ma laisse dénouée, je m’avançai timidement au milieu de la piste de danse. Il n’en fallait pas tant pour qu’une demi-douzaine d’hommes s’approche de moi, certains n’hésitant pas à me peloter. Toutes ces heures à attendre m’avaient tellement excitée que je ne pouvais plus patienter le temps de la séduction. Je m’accroupis directement au milieu d’eux et plaçai mes mains sur le sexe de deux d’entre eux, à travers leur pantalon. Déjà bien durs, ils libérèrent leurs queues de leurs vêtements, et je me jetai bouche la première sur la plus grosse des deux. Je la suçais langoureusement, tout en branlant la seconde. Pendant ce temps, je vis ...