1. Six "sions" pour une scission. (2)


    Datte: 22/06/2020, Catégories: Transexuels

    ... les quatre autres hommes se rapprocher et se masturber autour de moi. Certains me malaxaient les fesses, d’autres les seins, puis je me mis à 4 pattes et relevai ma robe, comme pour leur faire savoir qu’une nouvelle place de parking attendait d’être occupée. L’un des hommes entama une lente pénétration dans mon cul. Heureusement, il était le moins bien monté des six, et sa queue rentra assez facilement. Sa sodomie n’était pas aussi riche en sensations que celles de Monsieur, l’autre jour, mais la sensation de soumission à plusieurs hommes me plaisait. Il jouit très vite sur mes fesses, mais je n’eus pas le temps de dire ouf qu’un autre homme, beaucoup mieux équipé, lui emboîta le pas… et me déboîta littéralement le cul. Là, j’étais désolée pour mon précédent baiseur qui ne m’avait pas fait pousser le moindre couinement, mais je hurlais comme une folle dès les premiers aller-retours de ce second amant, si bien que j’avais du mal à bien m’activer sur la fellation que je prodiguais toujours à la même queue, depuis le début. Celui-ci sentit bien que j’avais du mal à le faire jouir, et il agrippa ma tête pour venir faire claquer violement mon visage contre son pubis. Ses violents va-et-viens dans ma bouche eurent tôt fait de le faire déverser sa semence au fond de ma gorge, m’étranglant ainsi, ce qui eut pour effet de me faire involontairement recracher une grande partie de son sperme, dans un bruit non contrôlé mais ô combien excitant de régurgitation. Un autre prit le relais, ...
    ... pendant que mon cul se faisait toujours pilonner. J’avais beau m’habituer à la douleur qui s’atténuait à mesure que mon anus se dilatait, je hurlai toujours autant de plaisir. Je vis alors les mêmes flashs que la dernière fois avec Monsieur, et je m’effondrai à plat ventre sur le sol, la face contre le damier lumineux de la piste de danse. Il m’avait semblé qu’il était interdit de baiser sur la piste de danse, mais tout le monde s’était écarté, formant un cercle autour de mes baiseurs et moi, et m’acclamant à leur manière : « Vas-y petite pute ! Montre-leur que tu peux assumer six grosses bites sans faiblir ! » Cette phrase parmi tant d’autres que proféraient nos voyeurs eut chez moi un écho particulier. Je devais « assumer », faire mes preuves. Leur prouver à eux, mais également à moi-même que j’étais un plan cul hors du commun. Toujours la fasse contre le sol, je remontai mon bassin afin de mieux recevoir cette seconde sodomie qui n’en finissait plus de me faire jouir, mais également afin de donner à mes fesses et mon dos une cambrure maximale, que mon corset amplifiait par ailleurs. L’homme que j’avais commencé à sucer venait de se terminer tout seul, en se branlant au-dessus de moi, et avait éjaculé sur mes fesses. Je sentais les coups de reins dans mon cul faiblir légèrement. Peut-être un petit coup de fatigue de son auteur que je regardai pour la première fois, en tournant légèrement la tête. Ma parole ! Mais il a l’air d’avoir au moins 65 ballets ! Pas étonnant qu’il ...
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