1. Palais-Royal


    Datte: 23/06/2020, Catégories: fh, ff, grp, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Partouze / Groupe confession,

    14 heures ou 15, peut-être. Les rayons de soleil d’un début de printemps faisaient leur apparition, diffusant une lumière plutôt blanche sur le feuillage vert naissant, et de nombreuses feuilles brunes jonchaient encore le sous-bois. Je me promenais lentement le long de cette petite rivière qui traverse le bois de Boulogne. C’est alors que je décidai de m’asseoir sur un banc pour profiter pleinement du spectacle. Une dame d’un certain âge, avec un cocker, passa. Deux cyclistes moulés par des justaucorps de couleurs vives attirèrent mon regard. Plus tard une femme accompagnée d’un lévrier afghan blanc marcha dans ma direction. Arrivée à ma hauteur elle tourna son visage vers moi, peut-être même sans me voir et poursuivit son chemin. Maintenant il était temps que je reprenne ma promenade. J’allai me lever lorsque je vis la femme au lévrier revenir, et soudain j’eus envie de la regarder passer là, devant moi, d’observer ce couple ainsi constitué, empli d’élégance, d’étrangeté et de mystère. Je restai assis, elle s’écarta de la direction qu’elle suivait pour aller s’asseoir sur un banc face au mien. Elle était vêtue d’un loden long bleu marine fermé par de grands boutons de couleur turquoise nacrée. Je n’apercevais que ses mollets revêtus de collants clairs, aux pieds de fins mocassins marine achevaient d’habiller ses jambes. Elle s’assit, retira la laisse du collier de son chien et ouvrit un magazine qu’elle tenait dans la main. Le lévrier fit le tour du banc de sa maîtresse ...
    ... puis élargit un peu le cercle en ma direction, ensuite il revint vers elle et se coucha à ses pieds. Cette femme semblait tout à sa lecture sans se soucier le moins du monde de ma présence, cependant, parfois imperceptiblement je la sentais jeter un regard sur moi. À un moment elle croisa les jambes et pour la première fois j’entrevis son genou. Le lévrier se releva, fit quelques pas à droite puis à gauche avant de se diriger à nouveau vers moi. Cette fois il vint jusqu’à mes pieds et posa sa gueule sur ma cuisse pour se faire caresser ; à cet instant sa maîtresse l’appela : — Victor, ici ! Elle m’adressa un large sourire. Son manteau avait un peu glissé sur sa jambe, laissant découvrir un peu de son corps. Un couple âgé s’approcha de nous, elle réajusta son manteau tout en continuant sa lecture. Puis le lévrier recommença son manège, nous étions à cet instant seuls, son manteau glissa à nouveau, elle appela son compagnon et tout en me souriant, se leva. Son manteau cette fois s’ouvrit complètement sur sa jambe, me laissant découvrir des bas sans que je puisse distinguer de jupe. Très rapidement en se levant, elle ouvrit les deux derniers boutons de son manteau, je vis alors sa jambe en totalité. Arrivé à la hauteur de son chien, face à moi, elle s’accroupit pour fixer la laisse au collier. Son manteau long en touchant le sol forma un peu comme une corolle largement ouverte sur le devant, me montrant un sexe nu recouvert d’un très léger duvet noir de jais, avec de grandes lèvres ...
«1234...7»