1. Palais-Royal


    Datte: 23/06/2020, Catégories: fh, ff, grp, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Partouze / Groupe confession,

    ... qui craignent l’exposition trop fréquente à la lumière. En regagnant ma voiture garée là un peu plus loin, je me souvenais… … Il était vingt heures environ, début de soirée de fin d’été. Septembre offre parfois de belles journées chaudes et tel avait été le cas cette journée. Quand je pénétrais dans ce jardin du centre de Paris mon cœur se serrait toujours un peu, peut être à cause de la charge du passé de ce lieu, plus probablement de rencontres heureuses ou malheureuses que j’avais pu y faire. Mais la vie chaque jour nous réserve des surprises. Ce soir-là, je décidai de profiter pleinement et seulement de ce cadre magique, ne jouir que de lui seul. Je poussai le petit portillon pour entrer dans le parterre face au jet d’eau. Je m’assis sur un banc et regardai le soleil peu à peu disparaître derrière le palais. C’est alors qu’une jeune femme brune, vêtue d’une robe à mi-mollet, en lin écru, boutonnée devant, entra à son tour dans ce petit carré. Elle passa devant moi. Un instant je crus qu’elle allait s’asseoir mais elle n’en fit rien et poussa le portillon opposé pour sortir. Il faisait bon, mes muscles se relâchaient d’une journée de travail, cependant je sentais monter en moi un désir. Cette femme probablement. Peu à peu je m’abandonnai à rêver. C’est alors que l’inconnue poussa à nouveau la petite porte, un livre à la main cette fois. Le soleil avait complètement disparu et la pénombre nous envahissait. Sa robe était déboutonnée jusqu’au dessus du genou et la regardant ...
    ... marcher, je pus distinguer de longues jambes encore hâlées par le soleil. Elle s’assit sur un banc voisin du mien et ouvrit son livre. Elle croisa élégamment les jambes, sa robe glissa un peu sur le côté et découvrit une partie de sa cuisse qu’elle s’empressa aussitôt de recouvrir. Je goûtai ces instants, mais mon corps quant à lui n’était plus totalement détendu, mon esprit ne pouvait effacer l’image de cette cuisse. Cependant le temps passait tièdement, maintenant nous étions seuls. En changeant de position sa robe glissa encore et il me sembla pouvoir découvrir jusqu’à son sexe. Nos regards se croisèrent et un sourire s’esquissa. Tout en lisant elle ouvrit un ou deux boutons à la hauteur de sa poitrine, nos regards se rencontrèrent à nouveau et cette fois furent emplis de désir. Elle pivota et m’offrit alors le plaisir de contempler ses longues jambes. J’aperçus, à peine, son sexe nu. Je me levai et allai m’asseoir à côté d’elle, elle écarta ses jambes pour me laisser sentir, caresser la partie intime de son corps aux lèvres généreuses. Elle ouvrit la boucle de ma ceinture, déboutonna mon pantalon, sortit ma verge turgescente et se baissa pour l’absorber. Mes mains caressaient, pétrissaient sa poitrine aux mamelons fermes. Son mouvement devenait plus ample. Mes doigts s’étaient frayé un chemin pour s’enfouir dans son corps, sentir le soyeux humide et chaud de son con, ma paume découvrait un pubis d’une infinie douceur, presque glabre. J’entendis un gémissement qui me fit, ô ...
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