1. Palais-Royal


    Datte: 23/06/2020, Catégories: fh, ff, grp, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Partouze / Groupe confession,

    ... particulièrement généreuses. — Ce n’est pas encore l’été, il est nécessaire de marcher un peu.— Puis-je vous accompagner ?— Bien sûr et bien plus encore. Nous empruntâmes un petit sentier en sous bois, ma main à travers l’étoffe caressait ses fesses fermes M’enhardissant, je soulevai son manteau pour découvrir le grain de sa peau et glisser ma main dans le sillon qui départageait ses deux globes. Mon index se fit plus inquisiteur et sentit vite un anus qui ne demandait qu’à être empli. Nous étions maintenant hors du sentier, nous nous arrêtâmes, elle abandonna au sol la laisse de son lévrier. Je posai ma main entière sur son sexe, j’avais envie d’y engloutir mes doigts, la caresser, faire croître son clitoris qui devait être spectaculairement rouge tellement ma main était humidifiée par son jus. J’eus envie de m’agenouiller pour mieux voir, sentir et goûter ce con. Mais pendant que je découvrais cette intimité pulpeuse, ma partenaire avait ouvert mon pantalon, sorti mon sexe au gland turgescent gavé d’une liqueur qui déjà d’un voile transparent le vernissait. Sa main se fit plus directrice, l’autre d’un geste ample remonta son manteau, découvrit son cul, blanc, ferme, nu. Elle se pencha en avant, me désignant l’auréole irisée où j’étais attendu. Je sentais le corps de Victor le long de ma jambe. Elle prit appui sur le tronc d’un arbre et bras tendu m’intima de l’enculer. Mes bourses se caressaient le long de son sexe d’une douceur exceptionnelle. Je sentis son corps ...
    ... s’ouvrir totalement, les mouvements devinrent plus rapides, je l’entendis gémir, jamais le contact de mes couilles le long d’un corps ne fut si agréable, je déchargeai violemment, mon sexe butant fort au fond d’elle. Elle se redressa, passa une main dans mes cheveux, l’autre sur la gueule de son lévrier afghan : — Mes amants préférés… pour aujourd’hui bien sûr. Après un petit sourire elle saisit la laisse de son chien et l’air un peu hautain, me quitta. — Poursuivons notre promenade, mon cher Victor. Je restai immobile quelques instants pour savourer la retombée de la jouissance, paradoxalement ces moments me permettaient de mieux me l’approprier. J’observai ce chien presque lové le long des jambes de sa maîtresse, s’éloignant tous les deux. Quand soudain elle fit demi-tour, alors je fis quelques pas vers elle. — Nous avons beaucoup aimé ces jeux. J’organise, jeudi 16, une soirée dans l’appartement de mon ex-mari, si vous êtes tenté présentez-vous à la boutique de Carmen sous les arcades du Palais-Royal, disons à vingt-deux heures de ma part, Béatrix.— Peut-être, merci pour cette invitation, bon retour. Le Palais Royal… Depuis que j’habitais dans la grande banlieue ouest, que j’avais mes bureaux à Boulogne, je ne m’y rendais plus. Ce lieu que j’avais tant apprécié était sorti de mon univers. Et puis, je crois que la rencontre que j’y avais faite un soir n’est pas étrangère à cet abandon, un peu comme on ouvre rarement certains albums pour ne pas altérer les précieuses photographies ...
«1234...7»