1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (2)


    Datte: 28/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Chapitre 2 Lingerie coquine J’allai bien vite être rassuré. Habitude fut prise pour moi de masser longuement puis de biser les jolis pieds de Maman lorsqu’elle rentrait de son travail. Un jour, j’osai aller plus loin : je pris ses orteils dans ma bouche, et entrepris de les sucer. Maman n’émettant aucune objection, je m’enhardis, à lécher progressivement tout le pied, remontant la plante de ma langue. Maman finit la séance les pieds bien détendus, trempés et luisants de ma salive ! Elle conservait continuellement les yeux fermés pendant mes massages et léchages. Visiblement, elle appréciait, mais ne fit jamais le moindre commentaire. Un jour que nous roulions en voiture, nous venions de faire de longues courses dans les magasins, tout en conduisant, elle lâcha : — Je suis claquée, vivement que nous soyons chez nous, que je prenne une bonne douche et que tu t’occupes de mes pieds ! Avec son accord je pris aussi l’habitude de lui passer moi-même du vernis sur ses ongles, avec le petit pinceau. C’est ainsi que tous les jours, je « faisais l’amour » à ses pieds. Un soir, un paroxysme fut atteint. Je léchai ses petons d’amour, tout en matant sans vergogne entre ses cuisses. Elle portait ce soir-là une petite culotte blanche semi-transparente, et je devinai sans peine son adorable petite forêt intime. Ma bandaison fut si intense que sans même me toucher, je déchargeai dans mon pyjama ! Difficile de rester impassible. Je me mis à tousser faussement, pour masquer mon trouble. Maman ...
    ... me fixa de ses yeux bleus, un sourire coquin sur les lèvres. Avait-elle détecté mon délicieux petit « accident » ?... Pour moi, ce fut dès lors l’escalade. Ses pieds, la vue de ses cuisses, de sa culotte c’était bien, mais tout cela devenait insuffisant. Se levant très tôt, Maman avait toujours pour habitude de préparer la veille au soir les sous-vêtements, habits, et chaussures qu’elle mettrait le lendemain matin, et elle déposait le tout sur le coin du canapé. J’attendais qu’elle soit couchée, et venais discrètement dans le salon. J’emportais ses escarpins dans ma chambre. Elle en possédait de toutes les couleurs et aussi de toutes les hauteurs. Talons raisonnables pour aller travailler, vertigineux quand elle sortait pour le plaisir. Il en allait de même pour ses jupes : un peu mini pour le boulot, outrageusement courtes pour ses sorties. Sur mon lit, je me branlais comme un fou, en embrassant ses chaussures, léchant l’intérieur, puis… éjaculant dedans. J’allai les remettre en place. Le lendemain matin, je guettais l’instant où elle allait grimper dans ses escarpins, et je bandais rien qu’à l’idée que la plante de ses pieds reposait sur mon sperme séché… Puis, je procédais de même avec ses petits slips et soutiens-gorge. Ils étaient propres, bien sûr, mais je me masturbais en entourant ma bite avec, et en jutant dedans. Puis je repliais soigneusement la culotte ou le soutif, que je replaçais sur le coin du canapé avec le reste. Et le matin, j’étais fou de désir pour elle, ...
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