1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (2)


    Datte: 28/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... attirante avec sa courte robe d’été à bretelles, et ses belles chaussures à brides et hauts talons, mettant en valeur ses jolis pieds aux ongles vermillon. Je n’avais qu’une hâte, retourner à la plage ! Ce que nous fîmes, dès le début de l’après-midi. Dans une boutique, Maman s’était acheté un autre bikini, encore plus minimaliste que le premier, cette fois de couleur saumon, ou corail. A peine installés sur le sable, Maman eut une étrange attitude. Elle ne cessait de regarder de droite et de gauche. Je compris bien vite, comme il y avait encore peu de monde sur la plage, elle en profita pour dégrafer, puis ôter le soutien-gorge de son maillot. Pour la toute première fois je vis ses seins ! Des seins gros, lourds, bien faits, sublimes, aux tétons saillants et aux larges auréoles roses ! Une poitrine de rêve ! Voyant que je ne la quittai pas des yeux, elle me tança : — Hé ! Je ne suis pas la seule paire de seins de la plage, regarde autour de toi, il y a des belles filles dans la même tenue ! — Mais TU es une belle fille, Maman ! — Merci du compliment, mais détourne un peu tes yeux, s’il te plait !... — Pas facile, tes seins sont si beaux !... Et c’est la première fois que je les vois ! — Bon, ça suffit comme çà, arrête, sinon je remets mon soutif ! Argument de « poids », si j’ose dire. Je compris qu’à insister, je risquais de tout perdre. J’étais donc « condamné » à ne jeter sur elle que des œillades furtives, ce dont je ne me privais pas lorsqu’elle tournait la tête, ou ...
    ... lisait le livre qu’elle avait apporté. Me vint une idée coquine. Je m’allongeai sur le ventre. Naturellement, une énorme érection ne me quittait pas, et je trouvai comment la soulager. Je me mis à me trémousser lentement sur ma serviette de bain. Ainsi, je me masturbai avec discrétion, par frottement. Par chance, Maman s’était assoupie, son petit chapeau lui protégeant le visage des rayons ardents du soleil. Je pus donc tout à la fois me branler sur ma serviette, tout en ne quittant pas son corps des yeux, en particulier ses merveilleux seins bien évidemment !... Même si j’étais hors d’elle, allongé à 20 centimètres de son corps, j’avais la sensation de lui « faire l’amour », c’était trop bon, génial. Je m’arrangeai pour que mes ondulations demeurent discrètes, ce qui retardait délicieusement ma jouissance. Ma « branlette-serviette » dura de ce fait une bonne vingtaine de minutes. Et finalement, les yeux rivés sur ses seins, j’éjaculai dans mon slip de bain, que j’inondai littéralement ! Maman je t’aime, avais-je envie de hurler. vpyvwwnc Car ce que j’éprouvais pour elle allait bien au-delà du sexe. Mais ces mots d’amour je devais me contenter de les penser, sans pouvoir les dire… Quelle torture, quelle frustration ! Je me redressai, constatant que mon inondation intime avait traversé mon slip jusqu’à humidifier ma serviette. J’allai me baigner, afin d’effacer toute trace de mon « méfait ». Maman me rejoignit dans l’océan, mais, encore un peu timide, elle avait remis son ...
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