1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (2)


    Datte: 28/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... en la voyant déambuler avec cette lingerie, dont le sperme séché se trouvait au contact de sa chatte ou de ses seins. Maman constituait mon unique sujet de masturbation. Au minimum une fois, mais la plupart du temps plusieurs fois par jour je m’astiquais vigoureusement pour elle, avec à chaque fois des émissions hyper juteuses. Je n’en revenais pas de la quantité de liqueur d’homme que je pouvais expulser. Mais le sexe n’était pas seul en cause. Je m’inquiétais du fait que je me sentais devenir amoureux d’elle, réellement amoureux, sur le plan sentimental. Et je me désolais du fait qu’elle ne serait certainement jamais ma maîtresse, et encore moins ma femme… Sur un petit cahier (secret !) je me mis à écrire tout ce que je rêvais de lui faire et qu’elle me fasse. Mais j’abandonnai bien vite, car mon récit, débuté sur le mode érotique, tombait très vite dans une basse pornographie, ce qui tout à la fois m’excitait, et me dégoûtait, curieux paradoxe. De même que lorsque je me masturbais pour elle, je murmurais à son intention des obscénités… que je regrettais sitôt terminé, et pourtant je recommençais à chaque fois. J’étais de plus en plus perturbé, cela tournait à l’obsession. Je pensais Maman, je rêvais Maman, je me branlais Maman, je ne vivais que pour elle, mes études s’en ressentaient, je délaissais même mes potes. En sa présence, je devais faire des efforts surhumains pour rester impassible, alors que je rêvais que d’une chose : lui faire l’amour, lui faire et lui refaire ...
    ... l’amour, encore, et encore !... Et en plus, comment ? Je n’avais jamais couché avec personne, aurais-je su m’y prendre ? Durant une année, la situation demeura identique : je lui massais et léchais les pieds, lui vernissais les ongles, me régalais de la voir tous les jours en petite tenue, je pratiquais d’innombrables masturbations rien que pour elle, assorties d’horreurs que je proférais, et d’éjaculations dans ses slips, ses soutiens-gorge et ses chaussures… Jusqu’à l’été 1977, celui de mes 20 ans, où tout allait basculer. J’étais toujours puceau, je me sentais ridicule. Je frimais auprès de mes copains, leur assurant que je me tapais « plein de salopes ». Ils me regardaient avec un petit sourire ironique, comme s’ils avaient deviné qu’il n’en n’était rien… Chapitre 3 Topless Juillet 1977, nous voici en vacances. Maman avait choisi le Pays Basque, Biarritz. Mes copains s’étaient encore foutus de ma gueule en me lançant : — Oh, le petit Fabien, il part avec sa maman ! Elle ne t’a pas expédié en colonies de vacances, cette année ?... Bande d’abrutis ! Un changement s’opéra chez Maman, dès notre arrivée à Biarritz. Elle qui ne mettait jusque là que de sages maillots une pièce à la plage, étrennait pour la première fois un très joli -et sexy- bikini de couleur turquoise. Le string n’était pas encore de mode, mais son deux pièces était malgré tout très petit, jamais je n’avais vu Maman si peu vêtue ! Mon propre slip de bain n’étant pas très grand non plus j’étais un peu ennuyé, ...
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