1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (2)


    Datte: 28/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... car mon érection (qui fut immédiate !) ne passerait pas inaperçue… Je réglai le problème en m’allongeant de suite sur le ventre, sur ma serviette de plage. Comme Maman se laissait bronzer au soleil, les yeux fermés, cela me permit de fixer intensément mon regard sur elle. Je peux dire que centimètre par centimètre je détaillai son corps, ses cheveux châtains, son doux visage, ses épaules nues, le profond sillon entre ses seins offert par la petitesse du soutien-gorge, le ventre plat, le petit renflement de sa vulve sous sa culotte, puis ses cuisses de rêve, ses jambes, et ses petits pieds adorés. Il y avait pourtant de belles filles en maillot de bain autour de nous, mais je ne voyais que Maman, ma Maman adorée, ma Valérie à moi. Je constatai tout de même que beaucoup de ces naïades se baladaient seins nus. Ce qui est banal de nos jours ne l’était pas encore totalement en 1977. Lorsque Maman s’assit, ouvrit les yeux, nous bavardâmes un moment. Je ne résistai pas à l’envie de lui dire, d’une voix mal assurée : — Tu sais, tu pourrais retirer ton soutien-gorge, regarde, plein de femmes n’en n’ont pas ! Et j’ajoutai malicieusement : … Et toutes ne sont pas aussi bien faites que toi ! Flattée, Maman me répondit par un sourire amusé, mais sans faire de commentaire… et sans quitter son petit haut. Nous avions loué un studio dans un immeuble dont les baies vitrées donnaient sur la Grande Plage. Nous allions donc dormir dans la même pièce, mais dans deux lits distincts. Le premier ...
    ... soir, Maman alla se coucher, seulement vêtue d’un habituel t-shirt à mi-cuisses. Assise au bord de son lit, elle enleva prestement sa culotte et se glissa très vite sous les draps. Elle était donc nue sous son t-shirt, cela me fit immédiatement bander. Elle s’endormit, le visage sur l’oreiller, tourné vers moi. Malgré mon érection, je me devais de rester sage. Je dus bien patienter presque une heure, avant qu’elle ne change de position, et me tourne à présent le dos. Alors, tout en la regardant, j’entrepris de me masturber. Même si elle l’ignorait, c’était la première fois que je le faisais en sa présence. Je pris le risque de repousser le drap, et de m’astiquer, la bite à l’air, prêt à me recouvrir si elle se tournait de nouveau. J’étais si excité que la jouissance arriva très vite, trop vite. Elle fut si forte que le premier jet de foutre m’atterrit sur le visage ! Je dus me mordre les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir, tandis que je tirais de mes couilles un flot de sperme qui m’inondait le ventre et le torse. Afin de ne pas me lever, je laissai ma semence sécher sur moi. La pièce empestait le sperme ! Pourvu que demain matin Maman ne perçoive pas cette odeur ! D’autant que j’allai me branler deux autres fois durant la nuit, achevées par de nouvelles éjacs, moins copieuses malgré tout. Le lendemain matin nous nous sommes baladés dans Biarritz, mais je n’étais aucunement attentif à ce que nous visitions. Je n’avais d’yeux que pour Maman, marchant à côté de moi, très ...
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