1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (2)


    Datte: 28/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ses seins. Sur sa petite culotte et sa bande de poil à l’air libre. Pour ma part, je portais un boxer, qui ne pouvait rien laisser ignorer de mon érection presque permanente. Décidemment bien délurée ce soir, baissant les yeux vers mon bas-ventre, Maman s’esclaffa : — Dis-donc, tu es rudement en… forme, ce soir ! Ce n’est tout de même pas moi qui te fais cet effet ? Pris de cours par ce sous-entendu gaillard, je fus tenté de répondre par l’affirmative, mais je me sentis rougir jusqu’aux oreilles, et ne trouvai à bafouiller que : — N… non, bien sûr ! Je repense seulement aux belles filles de la plage ! — Belles filles dont je fais partie, m’as-tu dit ? Sur ce, elle éclata à nouveau de rire, ravie de mon embarras. Ce troublant dialogue s’arrêta là. Nous allâmes nous coucher. Comme la veille, Maman enleva sa culotte avant de se glisser sous les draps. Elle y était donc entièrement nue. Alors que la croyais endormie et que j’allai enfin pouvoir m’octroyer un plaisir plus nécessaire que jamais, je crus percevoir un souffle saccadé. Dormait-elle déjà ? Et puis… non, je ne rêve pas, de petits gémissements très étouffés me parviennent aux oreilles. La pénombre n’étant pas totale dans la pièce, je vois le drap bouger, prendre de la largeur, comme si… ...
    ... comme si Maman écartait les cuisses. Je n’eus bientôt plus le moindre doute. Maman se caressait ! Bien que faibles, ses gémissements se faisaient plus lascifs, le drap ne cessait de bouger. Alors, avec le plus de discrétion possible, je la rejoignis dans sa masturbation. Nous nous branlions certes chacun pour soi, mais ensemble malgré tout, c’était fou, c’était un rêve qui se réalisait. J’étais tellement surexcité que je jouis bien trop vite, m’arrosant très copieusement, comme de coutume. Mais il y avait eu un « plus », et quel plus ! Maman se branlant à deux mètres de moi… Elle finit par émettre un « hummmmm !!!! » bien sonore, signant sa jouissance, mais hélas non synchronisée avec la mienne. Un silence total revint ensuite dans le studio. Je cogitai. Pourquoi se branlait-elle, et surtout pour qui ? Serait-ce en pensant à moi ? J’en étais là de mes pensées, lorsque je perçus de nouveaux gémissements. Pas possible, voilà qu’elle remettait çà ! Et de façon encore moins discrète que la première fois. Hélas, j’avais joui tellement fort que je ne parvenais pas à déjà rebander. Je l’entendis très nettement orgasmer pour la seconde fois, elle murmura un interminable « ouiiiiiiiii !! », me ravissant, mais me frustrant de n’avoir pu l’accompagner… 
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