1. De Papillon De Nuit à soumise (4)


    Datte: 06/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je m’arrêtai à côté de ma Maîtresse et ne bougeai plus d’un pouce. J’étais vêtue de la parfaite tenue de soubrette : la tenue principale avec le volant sur le devant, la coiffe, des bas autofixants blancs qui s’arrêtaient juste un peu en dessous de mes fesses, et des petites chaussures noires. Ils me détaillaient tous deux de la tête aux pieds, je le sentais bien. Je m’inclinai pour les saluer poliment. Tous trois me regardèrent alors, et ainsi que ma Maîtresse me l’avait conseillé, j’improvisai un petit discours. Je devais être rouge comme une pivoine. — Bonsoir, Messieurs. Je vous souhaite la bienvenue dans la demeure de ma Maîtresse, dis-je en les regardant et en leur souriant le plus naturellement du monde malgré la nervosité qui me rongeait. Ainsi que vous venez d’en être informés, je suis ici pour satisfaire le moindre de vos désirs, quels qu’il soient. Exigez ce que bon vous semblera : ce sera exécuté immédiatement. Je suis très obéissante, entièrement à votre service, et je ferai de mon mieux pour vous faire passer la meilleure soirée possible. Je ne comprenais pas du tout ce qui m’arrivait ; j’étais nerveuse, rouge de honte de me présenter ainsi à des gens que je ne connaissais ni d’Ève ni d’Adam, mais mes mots et mes gestes sont partis tout seuls. C’est à peine si je me reconnaissais. — Alors, vous voyez ? dit-elle. — C’est très intéressant, ma chère, dit l’un des hommes. Vous mettez les petits plats dans les grands ; c’est parfait. Mais est-elle aussi obéissante ...
    ... que vous le prétendez ? insista-t-il. — Vous pouvez me faire confiance, répondit-elle sereinement. Elle a reçu l’ordre de vous obéir aussi docilement qu’à moi : vous allez assez vite vous rendre compte qu’elle est très bien. Voici un exemple pour vous le prouver. Elle claqua des doigts. Je sentais qu’elle me regardait, et aussitôt je pris ma position normale, à genoux, tête et yeux baissés. — Ah oui, en effet, c’est pas mal ! dit celui qui avait manqué de s’étouffer avec son verre. — Vu que c’est ta première fois, ma chienne, tu as l’autorisation de jouir... murmura-t-elle à mon oreille en se penchant sur moi. — Merci, Maîtresse. — Viens un peu par ici, toi ! dit l’un des deux hommes en s’adressant a moi. Je m’exécutai. Je fis face à ces deux inconnus, et je sentis leurs mains se promener partout sur moi. J’étais tripotée, palpée, caressée, flattée. J’ai honte de le dire, mais ça m’excitait terriblement. Je me sentais fondre, dégouliner. Ils me firent écarter les cuisses et constatèrent bien vite mon état. — Bon sang, mais elle est trempée, la petite ! Regarde-moi ça ! dit l’un deux à son collègue. — Hé, mais on dirait que ce n’est pas tout ; vise un peu ça : il y a autre chose ! dit-il en me retournant. — Ooooooh, ravissant ! Cette petite pute est pleine de surprises, dis donc... Je me sentais humiliée d’être traitée ainsi comme un vulgaire objet, mais l’excitation était la plus forte. J’étais face à ma Maîtresse, mais je n’osais pas la regarder. Je devais maintenant aller ...
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