De Papillon De Nuit à soumise (4)
Datte: 06/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... douleur et de plaisir me déclencha un orgasme incroyable. Les mouvements de l’homme en dessous de moi stoppèrent, et le second plaça sa queue devant mon entrée interdite. — Allez, salope, on va bien te remplir, à deux. Tu vas gueuler comme la chienne que t’es ! me dit-il en collant son gland à l’entrée de mon anus. Il se mit à pousser fortement. Je sentis mon sphincter céder sous cette intrusion, et je serrai dans mes bras l’homme face à moi. Malgré la préparation anale, il dut s’y prendre à deux fois afin de pouvoir entrer entièrement en moi. Je me sentais complètement pleine pour la première fois de toute ma vie. Les va-et-vient reprirent, et j’eus la sensation de me faire écarteler. Impossible de ne pas sentir ces queues énormes frotter mes parois intimes ; je me sentais déchirée. Au début, j’avais le souffle coupé, mais petit à petit un plaisir immense m’envahit. J’étais pilonnée de partout, prise en sandwich. Les deux queues en moi étaient géniales, et mon visage était déformé par le plaisir incroyable que je prenais. Je hurlais comme aucun de mes ex ou amants de passage n’avait jamais su me faire hurler. — Pitié... défoncez-moi de partout, je suis votre pute, votre chienne, baisez-moi encore et encore, je vous en supplie ! criai-je, haletante, dans ma langue natale. Naturellement, ils ne comprenaient rien ; mais mes orgasmes qui s’enchaînaient, eux, étaient facilement compréhensibles. Je crus que j’allais mourir de bonheur. — Tiens, elle aime ça, avoir deux queues en ...
... elle ! dit l’un des deux hommes. — Tu vas voir qu’elle va en redemander ! dit l’autre. hbmhnndw J’étais transportée dans un monde inconnu, un monde où seul le sexe et les plaisirs qui s’y rattachent existaient. J’avais les yeux révulsés. J’avais été prise comme la dernière des traînées, violemment, brutalement – car je n’avais nullement été épargnée – et j’en redemandais encore, telle une droguée qui supplie d’avoir sa dose. Ma tenue était déchirée par endroits, tant j’étais prise avec force. Je transpirais de partout, ma tenue collait à ma peau, et je sentis à peine les queues qui se retirèrent de mes orifices. Ils me mirent à genoux. Je m’aperçus que ma coiffe était tombée ; mes cheveux étaient en bataille. Ils se placèrent de chaque côté de moi et se branlèrent avec frénésie face à mon visage en me caressant les cheveux. Instinctivement, mes mains massèrent délicatement leurs couilles velues qui tremblaient, et je fermai les yeux pour me préparer à ce qui m’attendait. — Oooh... Tiens, prends ça ! De puissants et longs râles rauques se firent entendre et je sentis leur sperme m’éclabousser copieusement le visage. Il était chaud, épais, et ils m’en étalèrent sur tout le visage avec leurs doigts. J’ouvris légèrement un œil et remarquai l’état de ma tenue tachée de sperme, déchirée. Et, bien que je n’apprécie pas trop le goût du jus mâle, je léchai la goutte qui perlait sur leur prépuce. — Allez, régale-toi avec mon jus, salope ! L’un d’eux prit un peu de sperme sur mon visage ...