De Papillon De Nuit à soumise (4)
Datte: 06/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... jusqu’au bout avec eux, quoi qu’il en coûte. Un doigt s’insinua dans mon vagin et se mit à aller et venir. J’eus toutes les peines du monde à retenir mes gémissements ; je serrais le bas de ma tenue dans mes mains en tremblant, mais ils finirent par se faire entendre. — Tiens... T’aimes ça, hein, petite salope ? me lança sèchement le premier. — Elle m’a filé une de ces triques ! dit le second. Allez, viens t’occuper de nous ; et dépêche-toi ! — Surtout, n’hésitez pas à vous mettre à l’aise ; ne vous gênez pas, invita ma Maîtresse. Par contre, j’aurais une petite requête : étant donné que c’est sa première fois, essayez de ne pas y aller trop fort avec elle... Je me retournai et m’agenouillai face à eux. Ils avaient sorti des queues bandées de taille assez moyenne. Je ne les fis pas attendre et les pris chacun dans ma main. Je les léchai délicatement à tour de rôle, puis les pompai en aspirant doucement. Je devais bien me débrouiller parce que j’entendais leurs gémissements, ce qui m’encourageait à mettre davantage de cœur à l’ouvrage. Il faut aussi savoir que j’ai une petite bouche, et je faisais tout ce qui m’était possible pour ne pas les toucher avec mes dents. Hélas, une crampe à la mâchoire commença à se faire sentir. — Elle aime la bite, cette cochonne ! Y a pas a dire, se faire pomper le dard par une jeune et jolie asiate sapée en soubrette, c’est royal ! dit l’un des hommes en haletant. — Elle doit être Chinoise ou Thailandaise, je dirais, supposa l’un des hommes. — ...
... Vietnamienne, pour être exact, répondit ma Maîtresse. — Regarde-moi pendant que tu me pompes, toi ! m’ordonna l’un des hommes. J’obéis et lui lançai un langoureux regard. — Et en plus, elle a de beaux yeux, cette chienne ! complimenta-t-il. Je n’en pouvais plus, ma bouche me faisait trop mal. Je stoppai mes fellations en grimaçant, toujours agenouillée. Les deux hommes enlevèrent leur veste et leur chemise. Je pus profiter de ce répit pour reposer ma bouche. L’un d’eux se rassit, toujours aussi dur. Je l’enjambai et m’empalai avec un petit râle de bonheur directement sur sa queue qui se fraya un chemin en moi. Je pense que le rosebud jouait beaucoup là-dessus, parce que je me sentais bien plus remplie et la sensation était plus forte. Il me prit les fesses et m’imprima le rythme de ses va-et-vient. Le second passa derrière le canapé et je pus aisément le sucer de nouveau. Les coups de boutoir de mon amant du dessous me donnaient un rythme parfait pour pomper le deuxième. — Alors, t’aimes ça, sucer des grosses bites, hein, petite chienne ? me lança celui que je suçais. — Oui, Monsieur, j’adore ! dis-je, haletante, transportée par le plaisir indescriptible dont j’étais envahie. — Allez, répète, sale pute ! — J’adore sucer des grosses bites, Monsieur. — Allez, suce encore, petite pute ! Je sentais un orgasme imminent. Quand la queue que je suçais quitta ma bouche, les coups de reins s’accélérèrent quelques instants, et mon jouet me fut presque arraché. La sensation mélangée de ...