De Papillon De Nuit à soumise (4)
Datte: 06/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... et me pénétra la bouche avec. Je le suçai doucement et docilement, surmontant mon dégoût, puis, donnai un ultime coup de langue sur ces queues. — Ça, c’est de la bonne petite soumise, ma chère. Bravo ! — Alors, Messieurs, est-ce que ce petit cadeau vous a plu ? interrogea-t-elle. — C’était parfait ! répondirent-ils tous deux en chœur. — Eh bien, je vais vous laisser vous rhabiller et récupérer un peu. Je vais accompagner ma soumise à sa chambre pour qu’elle puisse se nettoyer, et je suis de nouveau à vous dans un petit instant, leur dit-elle en ramassant le plug à terre après m’avoir aidée à me relever. — Faites donc... — Si vous désirez boire encore quelque chose, faites comme chez vous. Au fait, ma soumise, as-tu un mot à leur dire ? Je me tournai vers eux et m’inclinai. — Messieurs, j’ose espérer que ce moment vous a été agréable, merci pour ce moment de bonheur et je vous souhaite une excellente fin de soirée. — Merci ; toi aussi, répondirent-ils aussitôt. Je fus emmenée dans ma chambre tant bien que mal ; mes jambes pouvaient à peine me porter, et mon anus commençait à me brûler un peu. — Ils n’y sont vraiment pas allés de main morte avec toi, ma chienne. Regarde un peu dans quel état tu es : ta tenue est déchirée, tachée ; elle est bonne pour la poubelle. Je ne répondis rien ; mon visage tirait à cause du sperme. Une fois dans ma chambre, je pris ma position de soumise devant ma Maîtresse. — Merci beaucoup, Maîtresse. J’espère avoir été à la hauteur de vos espérances ; ...
... je vous jure que j’ai fait mon maximum, dis-je docilement. — Tu veux rire ? Tu as été bien au-delà ! me dit-elle sans dissimuler sa fierté. Il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir qu’ils sont immédiatement tombés sous ton charme. Tu as parfaitement rempli la mission que je t’ai confiée : ces deux imbéciles sont vidés de toute énergie, et je serai désormais plus a l’aise pour négocier. Je suis vraiment très fière de toi, bravo ! me complimenta-t-elle en posant ses mains sur mes épaules. — C’est vrai, Maîtresse ? demandai-je, presque au bord des larmes. — Oui. Maintenant, va te doucher, tu sens fort. Je te ferai porter un plateau pour que tu puisses reprendre des forces. Ensuite, je te veux dans ma chambre ; tu m’y attendras. Tout à l’heure, une fois qu’ils seront partis, je veux que tu t’occupes de moi parce que tes cris étaient adorables, et ils ont eu le don de me foutre dans tous mes états ! Tu as compris ? — Oui, Maîtresse, je ferai selon vos désirs. Merci beaucoup pour vos compliments, dis-je avec un grand sourire. Elle tourna les talons et sortit de la chambre. Moi, je pris une longue douche pour me délasser et me débarrasser de toute la semence qui me collait à la peau. Je repensai à mes performances de la soirée, et je m’étonnai moi-même de tout ce que j’avais fait. Un peu plus tard dans la soirée, le majordome m’apporta un grand plateau avec mon repas que je dévorai lorsqu’il fut parti. Une fois mon repas fini, je me lavai les dents. Rassasiée, un peu reposée et ...