Les hommes sont des salauds
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
piscine,
Collègues / Travail
collection,
intermast,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... occultants puis il verrouilla aussi la porte avant de reprendre place sur son siège. — Ta culotte ? répéta-t-il. Je dénouai les liens sur mes hanches, le maillot chuta à mes pieds — Approche, couina-t-il. Le démon empauma mes fesses et fourra son nez dans ma toison embroussaillée, une toison de rousse à l’état naturel, je devinai sa langue frayant sa voie vers ma vulve… Pour plus de confort, pour lui sinon pour moi, il me fit asseoir au bord du bureau, cuisses relevées et fourche béante. Là, il put œuvrer tout à son aise, fourrageant ma fente du groin et de la langue. Il ne s’en lassait pas, moi non plus… Le mal dévalait pour investir mon bas-ventre… Des hallucinations fabuleuses susurraient des mélopées enjôleuses tandis que le bougre me ravageait la chatte, fourrant les doigts et même la main aussi loin qu’il pouvait pénétrer. Il vint un moment où je n’en pus plus. — Chef, c’est le moment… Venez… gémis-je la voix éraillée par le plaisir qui me ruinait la gorge autant que le ventre. Il continua à me bousiller la chatte, ignorant mes suppliques. Mon ventre convulsait, ouvrant un peu plus mon vagin à chaque spasme. Le plaisir percolait goutte à goutte. L’orgasme m’emporta, tétanisant mon corps et me laissant pantelante. — T’aimes, on dirait ?— …— T’aime ça ! dis-le.— J’aime ! Chef ! scandai-je, tempérant l’aveu en faisant un peu d’humour. Monsieur n’apprécia pas mon esprit. — Répète, j’ai pas entendu.— Euh… J’aime chef, renvoyai-je, baissant pavillon, préférant me ...
... reconnaître matée.— Bien… Maintenant à mon tour. Je me laissai glisser sous le bureau et pris position pour lui tailler une pipe. Rapport à son âge, je m’attendais à une nouille plus ou moins minuscule et flaccide mais il n’en fut rien. Le sexagénaire était doté d’une belle tige plus verte, plus raide et même plus grosse que je n’avais présumé ; de plus, elle sentait bon. J’embouchai son membre sans déplaisir et le branlai en même temps. Il m’interrompit à un moment donné. — Arrête, sinon je vais jouir. Il me redressa. Lui aussi se dressait, laissant descendre son futal sur ses jambes. Je compris qu’il voulait me prendre en levrette. Je pris appui d’une main sur le bureau, glissant l’autre entre mes cuisses jusqu’à saisir son gland que je guidai et positionnai à l’entrée de mon vagin. La suite allait de soi. Il soufflait comme un taureau, bourrant mon cul à grand coup de rein. Ses battoirs enserraient mes hanches. Son ventre claquait sur mes fesses. De temps en temps, il faisait une pause et dans ces occasions, il glissait une main sous mon top, empaumant un sein qu’il pétrissait à me faire mal. L’affaire menaçant malgré tout de s’éterniser, j’entrepris ces petits riens qui redonnent de l’ardeur aux mecs. Il adora que je malaxe ses couilles mais il goûta plus encore quand je caressai son périnée et allai jusqu’à immiscer mon index dans son anus. Il s’immobilisa alors m’invitant à gratouiller tout mon saoul. Il reprit ses bourrades quand je m’interrompis, avec plus d’entrain ...