Les hommes sont des salauds
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
piscine,
Collègues / Travail
collection,
intermast,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... qu’auparavant, jusqu’au sprint final. Il était à bout de force, jetant les dernières dans une course frénétique et désespérée. Il crachota enfin, puis après l’ultime spasme, il s’abandonna à la félicité se résignant à désaccoupler nos deux sexes ; le sien que le mien recrachait n’ayant plus la tenue idoine pour persévérer. Il avait éjaculé une semence étonnamment abondante dont le trop plein s’écoulait, poissant mes cuisses aussi bien que ma main, que j’avais portée sur ma chatte dans le dessein de me finir. L’animal ne me laissa pas le loisir de chercher mon plaisir. Il avait repris place dans le fauteuil directorial et sollicitait mes talents pour nettoyer et requinquer. Il croyait pouvoir rebander. Il était bien le seul ! C’était poisseux, tout était poisseux, ma main comme son sexe. Je me mis malgré tout à l’ouvrage, léchouillant et lichaillant avec ardeur sinon avec cœur. Son sperme avait un goût douceâtre, par bonheur pas du tout désagréable. Si je m’accordais un répit, monsieur s’impatientait, promenant son zizi rikiki sous mon nez, s’entêtant dans son dessein de le faire rebander. Le moment était propice aux confidences. — Putain que c’était bon… J’en rêvais depuis que je te connais, s’exclama-t-il en parlant de la jouissance que je lui avais procurée. « Diable ! Je lui plaisais donc… En voilà, un gentleman ! » pensai-je, montrant pour le coup un regain d’ardeur en roulant ma langue autour de son macaroni. Il se chargea de dissiper mon illusion naissante. — Si ...
... j’avais su que tu aimais autant ça, je t’aurais donné mon sucre d’orge beaucoup plus tôt, gouailla-t-il avec une nuance de mépris qui me déplut. Il poursuivit. — C’est trop con… tu vas rire, je te croyais inaccessible… comme quoi, on peut se tromper. Puis il changea de sujet pour me faire un cours sur la meilleure façon de sucer, insistant de façon maniaque et plus que chiante sur ce que l’on gâchait à négliger le méat. Rien à cirer de son méat. Probable que mon inattention me desservit, le maître me colla une mauvaise note. — T’es pas trop au top comme suceuse… Modulant malgré tout son opinion par trop négative. — Mais je reconnais quand même que t’es une baiseuse de première… et vraiment pas à manière avec ça. J’en croyais pas mes oreilles quand t’as dit oui tout de suite, sans rechigner. Putain ! T’es une sacrée chaudasse toi. « Les mecs ! Tous pareils, pas un pour rattraper l’autre. Je lui ai prêté mon cul, qu’est-ce qu’il veut de plus ! » Il ne vit pas et ne sut jamais que son mépris me déchirait à chialer. Le lendemain, j’avais trois billets gratuits, c’était ce qui comptait. Gratuits ? Façon de parler. J’avais payé cash et les intérêts en plus. À la suite, ce salaud réclamait le service-après-vente et le surlendemain et les jours suivants aussi. Dès lors qu’il y avait goûté, il ne me lâchait plus et venait tous les jours. Que pouvais-je faire ? Sinon desserrer les dents ou les cuisses selon son bon vouloir. Si seulement j’avais eu droit à la lichette miraculeuse mais ça, ...