-
Comment en apprendre sur la sylviculture
Datte: 11/07/2020, Catégories: fh, fhh, hbi, inconnu, magasin, noculotte, facial, Oral pénétratio, fdanus, délire, fantastiqu,
... direction que la veille. Alors que je tendais les bras pour écarter les manteaux, je rencontrai une paire de mains ! Nous fûmes deux à pousser un cri (peut-être même un hurlement) de surprise. — Nom de dieu ! Qui êtes-vous ? criai-je. Sortez de là ! Une jeune femme apparut hors des fourrures et me regarda, apeurée. Puis son regard changea du tout au tout ! — Vous n’êtes pas l’un d’eux !— C’est-à-dire ? demandai-je, un peu au dépourvu.— Vous ne travaillez pas ici !— Tu m’as bien regardé ? Je suis toujours de mauvais poil, lorsque je dors mal. Mais dans un sens, je compris son soulagement. Elle était la première personne que je rencontrais et qui ne semblait pas travailler dans ce Bazar. Si elle portait une jupe, comme toutes les femmes que j’avais croisées ici, c’était le modèle mini kilt. Ses cheveux auburn étaient courts et raides, coiffés à la mode « oreiller ». Elle devait avoir vingt ans à peine. — Comment tu t’appelles ? demandai-je, décidé à garder le tutoiement. Ce n’était pas l’endroit pour perdre son temps en salamalecs. — Moi, c’est Irina. J’me suis perdue !!— Bienvenue au club. Bon. Inutile de rester ici. Y a quoi de ton côté ?— J’ai marché un bon moment. Je ne sais pas combien de temps. Mais le rayon suivant c’est les gâteaux secs.— Génial, c’est ce qu’il me faut ! Passe devant.— Tu t’appelles comment ?— Sébastien. Elle s’engouffra dans les manteaux et je suivis son pas. Ma nouvelle compagne de route était entrée dans le Bazar par curiosité. Comme nous, elle ...
... était tombée dessus par hasard, comme nous elle n’avait vu aucune publicité parlant de l’ouverture de ce magasin. Lorsque je lui demandai combien de personnes elle avait rencontrées, elle eut un petit temps d’arrêt. — Trois ou quatre. Pourquoi ?— Mes propres rencontres ont été quelque peu étranges. Pas toi ?— Les crétins que j’ai vus étaient simplement incapables de me dire comment sortir d’ici. J’avais l’impression qu’elle me mentait. Chose bizarre : si moi je n’étais tombé que sur des femmes, elle n’avait vu que des « crétins ». Lorsqu’elle me demanda en quoi mes rencontres avaient été étranges, je décidai de lui dire la vérité. — Je n’ai rencontré que des femmes. Elles ont fini nues et moi aussi.— Quoi ?— La première voulait voir si le préservatif que je voulais acheter m’allait bien. Les autres avaient un petit problème technique.— Woah ! dit-elle et j’étais d’accord avec elle. Malgré tout elle ne se décida pas à parler et nous continuâmes en silence. Au bout d’un temps, alors que mon ventre criait famine, un mur nous arrêta. — Bloqué ? demandai-je.— Non. Mais pour les gâteaux faut aller à gauche. Une pause ? On écarta un peu les manteaux qui nous léchaient le visage et on s’installa. — Tiens ! me dit-elle. Il me reste quelques biscuits. Je pris son gâteau, la remerciai et je mâchonnai en silence. — Les premiers mecs que j’ai rencontrés, dit-elle enfin, devaient avoir mon âge. Dans la vingtaine. Ils avaient l’air sympa. Je ne me rendais pas compte de l’endroit où je me ...