1. Comment en apprendre sur la sylviculture


    Datte: 11/07/2020, Catégories: fh, fhh, hbi, inconnu, magasin, noculotte, facial, Oral pénétratio, fdanus, délire, fantastiqu,

    ... Du portemanteau ? Pas grand-chose. On le laisse dans la forêt. C’est les manteaux qu’on ramasse.— Ce ne serait pas plus simple de monter décrocher les manteaux en haut ?— Il est impossible de retirer le manteau de son fruit tant que le portemanteau est vivant. C’est évident.— Hum… Tout est évident ici. Un autre coup de hache fit trembler le portemanteau et une femme nue en tomba. Elle était étrange. Son corps était d’une pâleur extrême, tout comme ses cheveux d’ailleurs. Lorsqu’elle releva la tête, elle nous montra un visage dépourvu de nez avec des yeux totalement bleu, sans iris. Seules ses lèvres, rouges, dénotaient un semblant de vie. Marala la chassa en faisant jouer sa hache au-dessus de la tête de la femme qui ne demanda pas son reste. — Pourquoi avoir fait cela ? demandai-je.— D’habitude, je les laisse jouer autour de moi, elles ne me gênent pas. Mais elles pourraient s’intéresser à vous. Vous devriez partir, maintenant. C’est pas une forêt sûre, lorsqu’on ne la connaît pas. Tenez, je me souviens qu’un jour… Elle commença à raconter ses aventures, mais je ne l’écoutais pas. Des yeux bleus, inhumains, me fixaient. J’avais du mal à respirer. La créature s’approcha sans bruit pour que Marala ne l’entende pas. Alors qu’elle se ...
    ... mettait debout, je remarquai que ses seins n’avaient pas d’aréoles et que ses poils pubiens étaient grisâtres. Plus elle s’approchait, plus mon érection grandissait, seule partie de mon corps qui acceptât de se mouvoir. Dans mon dos, j’entendais le son de la voix de Marala, sans bien comprendre ce qu’elle racontait, j’entendais les coups de hache mais je ne voyais plus que la femme aux lèvres rouges. Sans quitter mon regard, elle s’agenouilla et déboutonna rapidement mon pantalon. Elle saisit mon sexe raide et le glissa entre ses lèvres rouges, si rouges. Sa bouche était aussi chaude que son corps semblait mort et froid. Je me cambrai le plus possible pour profiter au mieux de ses caresses buccales et elle s’empara de mes fesses. Je sentais la jouissance venir petit à petit et les coups de langue se concentrer de plus en plus sur mon gland. Mais ce ne fut pas du sperme chaud que ma queue expulsa, mais des braises ardentes. Mon corps jonglait entre la douleur et le plaisir extrême. Ma respiration fut coupée, mon cerveau se liquéfiait. Peut-être pour respirer, la créature relâcha son emprise sur mon sexe. Ce fut comme une libération. Je pus enfin réagir comme n’importe quel mâle viril dans cette situation. Je poussai un long hurlement de terreur. 
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