1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 12/07/2020, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... toi. Attends, je t’aide. Alors qu’elle dégrafe ma chemise, j’ai la vision magnifique de ses deux seins qui tremblent à peine. La voir se baisser pour défaire et tirer sur mon pantalon est plus que suggestif. Mais je suis en slip et sa main qui me caresse à travers le tissu me rappelle que je suis dans une drôle de situation. Un moment j’avais oublié… — C’est bien. Tu as écouté. Oh oui, j’ai écouté, mais c’est bien contraint et forcé. Lorsque j’ai vu sur le net ce qui m’était destiné, j’ai immédiatement refusé. Mais ma femme s’est moquée de moi d’une remarque : — Pourquoi il n’y aurait que moi à me soumettre à cette initiation ? Pourquoi pas toi ? En plus, c’est assez mignon, tu ne trouves pas ? Elle avait ri, contente de me taquiner. Mignon ? Je n’aurais pas dit cela. Métallique, plutôt, mais cependant aérien et élégant. Mais on peut trouver des choses élégantes à condition qu’elles soient portées par d’autres. Mais c’est à moi qu’on demandait de porter cet objet. Pour un peu, j’aurais presque préféré un plug dans le cul que de me retrouver prisonnier, mon sexe bloqué dans cette cage d’acier, même s’il est inoxydable. Drôle d’impression que cet anneau à la base de ma bite qui sert d’attache à la cage proprement dite. Nous les hommes, on est bien peu de chose une fois que notre verge flasque est rassemblée dans ce volume limité. Un volume qui contraint lorsque le désir prend naissance et qu’il ne peut pas se développer. En plus, porter cette chose me rend ridicule. — ...
    ... Rassure-toi. Chacun, Éric, François et même Paul ont porté une cage. Alors il ne faut pas craindre le ridicule ou n’importe quoi. C’est justement pour te libérer qu’Éric a imaginé cette initiation. C’est drôle, mais l’image qui me vient à l’esprit, c’est la tige de Paul, contrainte dans un volume si limité. Nadia tire sur mon slip et le monde s’arrête pour regarder. Oh que non, le monde ne s’arrête pas. Un peu plus loin, ils ont d’autres préoccupations. Oh, mais le monde est divers. Nadia se penche vers moi et ses lèvres se referment sur le métal brillant. Je sens pourtant sur ma verge la douceur et la chaleur de la caresse. Mon « zizi », qu’un chanteur célèbre ne devait pas envisager ainsi, est sensible ; et que dire de mes couilles qui, elles, sont à l’air libre ? Sensation étrange, incongrue, inconnue. Je me faisais un monde de ce jouet, mais en réalité je sais que de nombreux hommes portent ce genre d’objet toute la journée. Soumission ou envie de plaire à une femme. Pourtant, j’ai même vu une vidéo d’un homme qui jouissait, le sexe comprimé, mais avec une puissance dantesque. Nadia joue un moment et j’en profite pour caresser ses seins. Je me sens moins potiche lorsque j’arrive à lui tirer des gémissements. Mais d’autres gémissements attirent notre attention. Un peu plus loin, loin de mes pudeurs de pucelle, des adultes jouent. Séverine n’est pas qu’agenouillée devant trois belles queues qu’elle honore avec gourmandise. Je ne connais pas de vision plus érotique qu’une femme qui ...
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