1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 12/07/2020, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... suce. J’ai déjà vu mon épouse pomper son amant, mais ici c’est encore plus beau, plus beau et plus fort. Liona guide toujours Séverine. Elle n’est pas qu’agenouillée, non, elle est à quatre pattes, la croupe magnifique avec les bas et le porte-jarretelles, et Liona la caresse. Les mains caressent les lobes fessiers, se glissent vers la chatte qu’elle doit exciter avec comme preuve les grognements qu’elle procure à Séverine. Elle grogne, car elle ne peut pas exprimer autrement son plaisir. La bite d’Éric disparaît entièrement dans sa gorge. Ses lèvres butent aux bourses. Elle gronde, et puis tel un plongeur en apnée remontant à la surface, elle reprend son souffle, tirant des fils de salive entre ses lèvres et la queue. Queue brillante, tige virile, gland gonflé et bourses pleines. Elle replonge. Doucement, faisant glisser ses lèvres serrées le long du gland, stoppe un instant, et je sais que sa langue titille la boule si tendre et sensible puis reprend son chemin pour se bloquer et ramper un dernier millimètre comme si sa vie en dépendait. Séverine était déjà une bonne suceuse avant que nous vivions à trois, mais la présence d’un autre alors qu’elle pompe une bite lui a donné une envie d’améliorer encore sa technique. Petit à petit, chassant les réflexes, elle a su nous prendre en gorge profonde, et je sais ce que doit ressentir Éric, cette pression sur son gland calé tout au fond. Mais Éric lui enlève sa queue pour se lever. Il pousse ma femme vers la bite de François qui ...
    ... recule sur le lit. Séverine, telle une salope suceuse de bite, rampe vers lui et pour cela monte sur le lit. Ça y est, François est en bouche et la femelle de nouveau à quatre pattes. Liona a cédé la place à Éric, et c’est une évidence que la bite brillante n’a pas vocation à rester ainsi. Elle entre sans bruit, sans heurt, bâton humide dans une grotte préparée. Putain, qu’elle est belle ainsi ! Les jambes écartées pour laisser la place à l’homme qui la possède, les hanches tenues par des mains puissantes, toujours cette touche de couleur du porte-jarretelles, mais aussi et surtout les deux perles noires, toujours accrochées aux tétons, qui se balancent à un rythme effréné. Celui d’Éric qui la bourre maintenant avec force, propulsant Séverine un peu plus sur la queue de François. La pièce se remplit de ces bruits si puissants, si érotiques, si parlants, oui, parlants, que même les yeux fermés on reconnaîtrait le « clac-clac » des peaux qui se heurtent, le « floc-floc » de la queue qui se rue et brasse la salive et les sucs de femelle, le gargouillis infâme, mais si bandant de la salive de Séverine qui gargouille dans sa gorge avec le pieu de François. François qui échange avec moi un regard satisfait.« Eh oui, cher Pascal, je me fais bouffer par ta femme ! » C’est ce qu’il doit penser. Mais moi je vois surtout que ma femme lui donne du plaisir.« La tienne sera-t-elle aussi bonne ? » pensé-je. Je suis dérangé un instant par Paul qui vient s’asseoir à mes côtés. — Tu vois, Doc, ...
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