1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 12/07/2020, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... Éric me la prépare. Elle sera bien ouverte. Il est juste à côté, et évidemment sa remarque me fait regarder son sexe. Il le tient dans la main, le branlant doucement. Il est vraiment gros. Gros, mais bien proportionné, avec une tige délicatement veinée. — Oui. Oui. François jouit. Il balance sa purée dans la gorge de ma femme, et un instant je pense qu’il aurait pu s’abstenir. Après tout, Séverine pourrait ne pas aimer, comme beaucoup de femmes, le goût du foutre. Mais je comprends aussi que Liona, ma maîtresse et confidente, a dû dévoiler certaines de nos pratiques familiales. Éric continue. Il secoue ma femme de plus en plus fort. Séverine a le visage ravagé par ces fellations ; de la salive coule de son menton et je devine au coin des lèvres quelques traces du sperme de François. Mais elle ne se refuse pas, au contraire. Libre maintenant de me pencher en avant, je vois distinctement sa main aller chercher son petit bouton. Plus rien ne la retient. Sa voix surprend par sa force, son ton : — Oui, baise-moi. Son visage est tourné vers moi et ne me quitte plus. Elle découvre la cage que j’avais refusé de lui montrer, faisant planer jusqu’au dernier moment un refus. Ses yeux sourient alors que son regard croise le mien. — Chéri, c’est bon… Il me fait du bien… J’aime qu’elle me parle alors que ses yeux se troublent. Je ne l’ai jamais vue avec cette figure dont toutes les traces sont la preuve de ses sucettes. C’est totalement « sexe », digne d’une pute. Mais que c’est bon à ...
    ... voir ! Pas seulement la reproduction de ce que nous faisions avec Arnaud ; ici, c’est beaucoup plus fort. Plus de monde, hommes, mais aussi femmes, même nos accessoires qui pourraient étonner, finalement nous libèrent de toute retenue. — Encore, encore. Encourageant ainsi son amant. Sa croupe est secouée, mais on peut voir qu’elle vient au-devant de la queue qui la bourre. — Oui, ouiiiiiiiiiiiii… Elle se fige, foudroyée, et si Éric ne la retenait pas contre lui, je pense qu’elle tomberait d’un coup. Éric qui continue cependant jusqu’à ce qu’il vienne. Une minute à peine, et il décharge tout au fond d’une matrice accueillante. Quelques secondes de répit. Séverine reprend ses esprits. Finalement, elle est restée la croupe à l’air alors qu’aucun mandrin de la maintient plus. Le visage, toujours tourné vers moi, elle me sourit, mais un sourire pervers, aguicheur, bien loin de l’épouse qu’une jouissance vient de satisfaire. Mais il faut dire que Paul et moi, accompagnés par ma voisine Nadia, formons un trio qui n’a rien de bien classique. Un mari, le sexe prisonnier d’une cage qui l’empêche de bander alors qu’en temps normal, après un tel spectacle j’afficherais une érection grandiose, de celles qui donnent une bite bien dure. Mais à côté de ce mari, un complice montre par contre une verge verticale, droite, imposante, qui ne peut qu’attirer le regard. Et Nadia respirant la féminité à côté de ces deux mâles en rut. Liona parle à l’oreille de ma femme. Encore une fois, l’allusion est ...
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