1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 12/07/2020, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... mien. — Attends, on va te libérer. Je comprends le sens de ses paroles lorsqu’elle se penche sur moi et que d’un mouvement elle libère le sexe de sa cage et mes couilles de l’anneau. Sa main joue aussitôt avec mon membre, concentré de puissance, que je ne constate pas si flasque que cela, mais au contraire un peu dur. Ma queue me fait penser à ce cotillon, le gène, rouleau de papier qui se déploie lorsqu’on souffle. Le souffle, c’est mon sang qui se rue dans ces cavités enfin libres de le recevoir. En deux secondes je bande fort, enfin redevenu un homme à part entière. — Regarde. Mes yeux quittent ma bite, centre de mon univers pour quelques secondes et reviennent sur Séverine. Elle est toute droite sur ce pieu qu’elle semble découvrir à chaque mouvement. Comme beaucoup de femmes, mon épouse, cavalière et dominatrice de l’homme qu’elle chevauche, ondule autour de ce qui occupe sa chatte. J’imagine bien volontiers l’effet que doit procurer un tel braquemart. Mais c’est quelqu’un d’autre que Liona veut me montrer : François, qui a quitté le confort du lit pour se rapprocher. Son sexe est de nouveau dans toute sa splendeur et il est en train de le recouvrir d’une crème grasse qui le fait briller. Le dernier pas qu’il fait ne peut que confirmer son intention. Paul attire ma femme contre lui pour la faire se pencher un peu. Elle comprend alors que derrière elle une main cherche le plug, excroissance verte, et que cette main qui s’en saisit le tire à lui. Elle se retourne. Que ...
    ... peut-elle voir, si ce n’est qu’un homme, François, est derrière elle ? Elle ne voit pas, elle ressent ! Je ne ressens pas, mais je vois ! Nous sommes un couple, et il y a des moments où cet état est magnifié. Le plug est lentement retiré de son anus. Le sphincter, anneau musculeux, ne lâche pas sa prise si facilement, mais alors qu’il n’étrangle plus rien il garde la mémoire de ce qui le déformait. Déjà on le trouble en l’enduisant de crème. Mais il a à peine le temps de frissonner que le dard de François vient vers lui, le touche, le caresse comme un pinceau caresse le mur en étalant la peinture, le pointe, lui fait sentir cette pression si caractéristique… Séverine a évidemment compris. Elle s’est retournée vers Paul pour attendre. Je croise son regard, mais il ne s’attarde pas. Est-elle heureuse, impatiente d’enfin retrouver nos jeux avec Arnaud ? Est-elle inquiète de cette double possession, avec la bite de Paul qui doit déjà la remplir ? « Ohhh… » accompagne la pression du gland et son entrée avec une facilité déconcertante. « Pffff… » C’est un souffle continu qui sort de ses lèvres alors que je peux voir la queue avancer. Que j’aimerais être à la place de son enculeur ! Sentir l’anus serrer avec toute sa puissance autour de ma bite. Rencontrer celle de Paul qu’il doit falloir pousser pour qu’il cède de la place. Ramper le long de cette tige, concurrente et partenaire à la fois. — Ahhh. C’est fait. Si vite, si facilement que c’en est déroutant. Les deux hommes sont en elle. ...