Quatre, cinq, six...
Datte: 12/07/2020,
Catégories:
ff,
grp,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
hsodo,
confession,
... — C’est ce que tu voulais, hein ? C’est Liona qui commente. Sa main n’a pas quitté ma propre verge, tendue de tant de plaisir. Elle continue : — Voilà Arnaud remplacé… avantageusement remplacé. Maintenant, à toi. Regarde. Elle me fait quitter le spectacle grandiose de ma femme qui se tortille sur ces deux pieux pour celui de Nadia. Nadia que j’avais oubliée. Nadia qui enlève sa petite culotte en nous tournant le dos, nous montrant des fesses de rêve. Vraiment, le maître des lieux a bon goût, et je ne doute pas que son amie soit également partageuse. Mais lorsqu’elle se retourne, une surprise remplace la minette attendue : c’est un sexe d’homme, sexe flasque qui devait être comprimé et caché pour laisser l’illusion perdurer tant que la culotte le contraignait. Ainsi Nadia n’est pas totalement une femme. Elle est pourtant belle. — Viens. Liona m’entraîne. Me voici à côté d’elle alors que d’une main elle me tend le sexe qui semble revivre. Le gland caresse mes lèvres, et je ne peux refuser de les ouvrir. Il est doux, tiède, et ma langue retrouve des habitudes abandonnées depuis très longtemps. — Suce, mon Pascal. J’ai pensé que tu aimerais revivre ce que tu m’as confié de toi, d’Arnaud, de Suzanne. En un éclair je comprends ce que me dit ma maîtresse. C’est à elle et à elle seule que j’ai confié que notre maîtresse cougar de l’époque nous avait enseigné des jeux entre hommes. Des jeux où Arnaud et moi formions un couple qu’elle s’ingéniait à pervertir. Ce sexe que Liona me ...
... fait sucer et qui gonfle dans ma bouche me ramène plus de vingt ans en arrière. Le dernier sexe que j’ai sucé ainsi, c’est celui d’Arnaud. Un secret entre lui et moi. Une expérience que nous n’avons jamais osé reproduire et dont nous n’avons jamais reparlé. Nous avions honte. À 18 ans, la fellation et la sodomie entre hommes nous semblaient contre nature et réservées à des tarlouzes. Mais le pire, c’est que la première fois passée, nous y avions trouvé du plaisir. Plaisir de sentir, comme maintenant, une queue grossir. La sucer, la lécher, jouer de la langue pour caresser le sillon du gland, chercher à en gober le plus possible, constater qu’une bite ne fait pas la différence entre une gorge de mâle ou de femelle. Plaisir de savoir exacerber son amant au point qu’il ne puisse plus se retenir et éjaculer son foutre sur son visage, ou mieux, dans la tiédeur d’une bouche transformée en réceptacle. Pour cela aussi Suzanne nous a éduqués alors que nous faisions les difficiles et refusions un tel don : « Mes petits, ne demandez jamais à une femme ce que vous refuseriez de faire ; vous seriez alors de piètres amants. Il faut connaître pour savoir demander. » Avec la maturité, je sais qu’elle avait raison. — Viens, me dit alors à l’oreille ma maîtresse qui s’installe sur le canapé à côté du trio et qui m’ouvre ses cuisses. Je la pénètre avec délice. Ma queue me paraît gonflée comme jamais, comme si la cage avait préparé mon érection alors qu’elle me bridait. Mais ce n’est pas tout : le ...