Une histoire simple, quoique !
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hagé,
hépilé,
vacances,
hsoumis,
revede,
hféminisé,
Oral
init,
Gay
vêtements,
— Bon les gars vous êtes bien gentils, mais si vous pensiez à mon petit cadeau avant d’aller plus loin ! La bouche d’Antoine se décolla du cou de la gonzesse et ma queue prit un coup de mou. Échange de regards éberlués — Quel petit cadeau, questionna Antoine.— Attends, chéri, tu crois pas que je vous ai suivis pour vos beaux yeux !— Et c’est combien ton petit cadeau ? demandai-je par pure curiosité.— 200 euros. Deux cents euros, elle ne se mouchait pas du coude la pétasse. Elle avait 40 ans bien tassés. De belles jambes gainées de soie, de grosses loches, m’enfin c’était pas Marylin. Elle avait passé le cap des 100 000 depuis longtemps. Surtout qu’elle continuait : — 200 euros chacun bien sûr… mais pour toute la nuit et pour tout ce que vous voulez. J’suis open comm’ i disent chez Orange. Une pute ! On avait levé, une prostipute. J’aurais dû m’en douter ça avait été trop facile. Je ne bandais plus du tout. Nouvel échange de regards avec mon collègue. — Tu penses comme moi ?— Exactement la même chose lui, répondis-je. J’ai jamais payé pour baiser, c’est pas aujourd’hui que je vais commencer.— Madame, on ne vous retient pas, reprit Antoine en lui ouvrant la porte de sa chambre.— Pauvres types ! Vous avez vu vos gueules ? Vous espériez quoi ? ragea la belle de nuit en s’emparant de sa cape. Elle partit furieuse en lâchant encore quelques noms d’oiseaux pour faire bon poids. — Qu’est-ce qu’elle a ma gueule, déclama Antoine, avec un rire forcé, une fois la porte refermée. Elle ...
... n’avait rien sa gueule ! À mon goût, il était plutôt beau mec. Quoique mec moi-même, je n’étais peut-être pas bon juge. Il me rendait une bonne tête, un visage viril et avenant, un corps bien entretenu, ventre plat sans un gramme de trop. À 55 ans, ses courts cheveux gris, sa calvitie naissante lui donnait un charme fou. Si j’avais été une gonzesse… Je n’avais pas son charme, mais je ne me trouvais pas si mal que ça. Selon mon épouse (d’accord, elle n’était pas objective), j’avais des yeux absolument irrésistibles. Il me manquait quelques centimètres, mais j’étais plutôt bien proportionné. De plus, dans mes longs cheveux blonds, les fils blancs ne se voyaient pas. — On va pas se laisser aller. Je le sentais un peu vexé malgré tout. Le mâle alpha n’avait pas apprécié que la donzelle ait cédé à l’attrait de son portefeuille plutôt qu’à celui de son charme. Il ouvrit nerveusement la porte du minibar et se saisit de deux mignonnettes de whisky. Nos mini bouteilles en mains, nous nous écroulâmes tous les deux, sur son lit, cédant à une hilarité de circonstance masquant notre déconfiture. Comment en étions-nous arrivés là ? Un petit retour en arrière s’imposait. Je travaillais depuis plusieurs années en tant que cadre dans une entreprise informatique. J’arrivais à un âge, à l’approche de la cinquantaine, où on vous montre facilement la porte. Et ma boîte employait deux jeunes loups qui m’auraient volontiers mis au placard. Aussi quand mon patron, enfin ma patronne, quoique plus mec ...