Une histoire simple, quoique !
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hagé,
hépilé,
vacances,
hsoumis,
revede,
hféminisé,
Oral
init,
Gay
vêtements,
... parvenait pas à dissimuler son érection. Sur ce que je pouvais voir, y’avait du monde à l’intérieur. — Elle m’a mis une de ces triques, cette salope! Il est aussi dur qu’un bâton de berger. Touche, tu vas voir. Joignant le geste à la parole, il avait agrippé mon poignet et avait posé ma main sur sa braguette. — En effet tu bandes comme un âne ! Après ce commentaire flatteur, j’aurais dû, et c’est sans doute ce que j’aurais fait en des circonstances normales, retirer ma main. Mais que nenni, l’alcool ingurgité durant cette soirée avait altéré mes perceptions. Je laissais ma paume sur son paquet, immobile. Paradoxalement, cette masse rigide palpitant sous mes doigts m’excitait. J’avais la gorge sèche, l’estomac noué, mais aucune réaction érectile. Pourtant… — J’aime bien ta main. Ces mots avaient été prononcés d’une voix vacillante, hésitante. Le trouble d’un interdit, l’incrédulité aussi sans doute. — Caresse-moi, s’il te plaît… enfin si tu veux. Ce ton ! Mix d’ordre, de prière, d’envie. Je réagis comme si j’avais attendu ces paroles. Timidement mes doigts dessinèrent les contours de son vit, du bout de la hampe jusqu’à la naissance des couilles. Sa position assise ne permettait pas d’approfondir ma connaissance des lieux. Conscient du fait, Antoine ouvrit largement ses jambes. Je la caressais comme je caressais la mienne lorsque j’étais à la recherche d’un plaisir solitaire. Quand cette pensée me traversa, je pris conscience que le morceau de viande tumescent que j’avais ...
... en main devait être un sacré morceau. Dame nature m’avait doté correctement. Du moins mes quelques conquêtes féminines ne s’étaient jamais plaintes. Mais ma bite n’était pas du même format que celle que j’apprivoisais en d’habiles va-et-vient. — Putain, c’est bon ! soupira mon petit camarade ! Attends faut que je la libère sinon elle va étouffer. D’une main impatiente, il dégrafa son élégant pantalon de lin qui déformé par sa bandaison ne ressemblait plus à grand-chose. Tandis qu’il le faisait glisser le long de ses jambes poilues, je dégageai sa bite grandiose de son caleçon qui l’était moins, taché qu’il était de ses premières sécrétions. La bête se dressait, émergeant fièrement d’une toison poivre et sel des plus broussailleuses. Je m’en emparai fiévreusement pendant qu’il gigotait pour se dépêtrer de ses godasses et de ses fringues. J’étais excité comme une puce en manque, pourtant je ne bandais pas. Enfin pas du bas ! Par contre, l’étoffe synthétique de ma chemise irritait mes tétons tendus par le désir. J’aurais souhaité sentir ses mains s’y poser, mais débarrassé de ses vêtements, il s’allongea en travers du lit, jambes ouvertes. Ma main droite malaxait ses boules contractées. Pendant que ma main gauche le masturbait lentement, j’admirais sa queue. Peu importe le diamètre et le nombre de cm, ce qui était sur : elle était longue et vraiment épaisse. Mon pouce et mon index, en anneau, ne parvenaient pas à se toucher. Mon lent coulissage semblait lui plaire, son souffle ...