1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements,

    ... qu’elle tu meurs. Donc ma patronne se pointa pour demander qui voulait se rendre au séminaire de mise à niveau organisé par un de nos fournisseurs. Je me gondolai à l’intérieur anticipant sur l’attitude belliqueuse de mes deux jeunes collègues qui allaient se bouffer le foie pour être celui qui… mais ils commencèrent à ergoter que les vacances, leurs gonzesses, les gamins… Je saisis ma chance au bond et je me proposai. Ma patronne, n’étant pas du style à perdre son temps avec ce genre de détail, ratifia immédiatement ma candidature. Voilà pourquoi par un beau matin d’avril, je débarquai au palais des congrès de Gifle Pasyvette. Même impression d’anachronisme ressentie lors de mon dernier concert deheavy metal où des jeunots m’avaient demandé si j’appartenais à l’organisation. L’ancêtre se retrouvant perdu au milieu d’une vingtaine d’énergumènes à peine trentenaire. Un seul quinqua : Antoine. C’est donc tout naturellement que nous sympathisâmes. Il avait deux ou trois ans de plus que moi. En clair, il entrait dans la tranche de la cinquantaine qui vous pousse vers le troisième âge. Le fait que nous vivions tous les deux en Rhône-Alpes, lui dans le Rhône, moi dans la Loire, nous rapprocha encore un peu plus. Les journées passaient rapidement, les activités et conférences proposées intéressaient tout le monde. Les mecs étaient plutôt agréables même si nous n’avions pas grand-chose en commun. Les quelques gonzesses, dont certaines très excitantes (toutes les geekettes ne sont ...
    ... pas des thons) nous regardaient comme si nous étions de vieux étrons dénaturant leur paysage. Par contre les soirées… Toute cette jeunesse se retrouvait autour des jeux en réseau et autre amusement vidéo qui nous gonflaient sérieusement, Antoine et moi. Nous passâmes le lundi et le mardi soir au bar de l’hôtel à siroter et à parler de nos parcours respectifs. Le mercredi soir, nous avions fait le tour de la question. Antoine, qui se révélait le leader de notre duo, m’entraîna au Tropinard Babar, une boîte de nuit soi-disant branchée. Branchée, elle avait dû l’être…. dans les années 80. La population qui la fréquentait dépassait allégrement la quarantaine. Et c’est ainsi que nous, enfin quand je dis nous, c’est surtout Antoine et son bagout, avons levé Hélèna. Jolie femme dans la quarantaine, bien mise, sexy avec ce qu’il fallait où il fallait. Après deux ou trois danses, elle s’installa à notre table. Et de fil en aiguille, plutôt de frottements en passage de mains, nous commençâmes à flirter outrageusement… à trois. Suite logique pour Antoine, inespérée pour moi, elle accepta de nous suivre à notre hôtel pour passer à des jeux plus sérieux. C’est ainsi que nous nous retrouvâmes dans la chambre d’Antoine et que nous découvrîmes, un peu tard, que la donzelle était plus intéressée par notre bourse que par nos bourses. Alors qu’il sirotait sa mignonnette, Antoine lâcha : — Putain, elle m’a échauffé le zigomar à tête chercheuse, la gueuse. Regarde ! Il ne mentait pas, son futal ne ...
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