1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements,

    ... s’accélérait, sa voix s’altérait : — Tu sais mon petit Luis, tu me ramènes des années en arrière ! Que dis-je, des décennies. Oui comme ça, décalotte-moi bien. À l’époque de mon adolescence, quand on se retrouvait avec mon pote Jacky dans la resserre de son grand-père. Hum ton doigt sur mon gland ! Mouille-le ce sera mieux ! Je m’exécutai et salivai abondamment sur mon index et mon majeur. Je les ramenai sur sa tête de nœud, énorme violacée. Du bout de mes doigts lubrifiés, j’effectuai des cercles concentriques autour de son méat tandis qu’il continuait : — Il adorait s’amuser avec ma bite. Je me rappelle toujours ses branles maladroites. Il a été le premier à me faire cracher. Mais tu es nettement plus doué que lui. On dirait que tu as fait ça toute ta vie.— Et non tu es le premier ! Quand j’étais ado, je me consacrais aux filles, plaisantai-je. Pourtant il avait raison, j’avais l’impression d’avoir fait ça toute ma vie. Je ne me posais pas de question métaphysique, style : mais qu’est-ce qui m’arrive ? Moi, caresser un homme. Non, j’étais tout à mon plaisir, tout à son plaisir. — Moi aussi ! Qu’est-ce que tu crois, je suis pas pédé ! À 12 ans c’était de la découverte. Et puis c’est lui qui me caressait. Par contre ce petit con n’a jamais voulu me sucer. Il disait que c’était un truc de gonzesse. Je considérai cette réflexion comme une invite. Mes lèvres se posèrent sur son gland découvert. Je lapai avec délice, le corps parcouru de frissons extatiques, les premières gouttes ...
    ... sourdant de sa tige. — Putain, j’y crois pas. Tu vas vraiment me sucer ? Comme j’avais la bouche collée à sa queue, je ne voyais pas l’intérêt de lui répondre. Je la léchai amoureusement sur toute sa longueur, et Dieu sait si elle était longue. Je m’attaquai ensuite à ses boules poilues contractées de désir. Je les gobai l’une après l’autre pendant que mes mains s’occupaient toujours de sa hampe. Le traitement devait lui convenir, car, s’il s’était tu, sa queue semblait encore gonfler et tressautait sous mes attouchements. Un doigt s’introduisit hardiment entre ses fesses. La contraction de celles-ci refoula mon index. OK, monsieur n‘avait pas envie que je me consacre à son anus. Je retournai donc au massage de ses testicules frémissants. Une poussée de son gland contre mes lèvres me signifia ses désirs. J’avais une grande bouche, mais la grosseur de son nœud m’effrayait. Et à juste titre. J’eus beaucoup de mal à l’absorber. Mes lèvres se tendaient à craquer. Mais quelle sensation ! J’en avais l’anus qui frémissait. Je salivais un maximum pour permettre à cette bite monstrueuse de me pénétrer. Quand son méat heurta ma luette, je n’avais pas avalé la moitié de cette hampe. J’entamai une série de va-et-vient d’abord très lents afin d’habituer ma bouche puis, progressivement, j’accélérai. Abandonnant sa passivité, Antoine avait glissé une main entre mon fut’ et ma peau. Il me malaxait les fesses, lançant un doigt en exploration, il appuya sur ma rosette. Contrairement à lui, je ...
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