Une histoire simple, quoique !
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hagé,
hépilé,
vacances,
hsoumis,
revede,
hféminisé,
Oral
init,
Gay
vêtements,
... doué. Monsieur mon amant était vexé ! Qu’on mette en doute ses talents de baiseur ! Il changea de sujet. — Enfile les chaussures ! J’ai pas pris de soutif. T’as vraiment pas de quoi les remplir. Et je ne ferai pas de commentaires sur la disproportion avec les seins de Denise. J’suis sûr que tu vas me dire que tu les aimes.— J’aurais du mal à dire le contraire : elle a une poitrine magnifique !— Ouais ! Marche voir comme une salope que tu es ! Pas évident de marcher avec ces escarpins. Heureusement, Antoine avait été raisonnable. La hauteur des talons n’excédait pas 5 cm. Mais déjà…. Pendant que je faisais des 8 avec mon cul à la grande satisfaction de mon amant qui se paluchait avec vigueur, je pensais à sa nana. Il m’avait expliqué qu’au pieu, elle était réceptive, mais n’appréciait guère les variations et était chiche de ses ébats. En clair, il baisait à la papa et pas trop souvent. Pourtant Denise était bandante. J’avais eu l’occasion ces derniers jours de le constater alors qu’elle et Nadine faisaient du bronzing dans des tenues minimalistes. Aussi mignonne l’une que l’autre, mais physiquement aux antipodes. Nadine plutôt dans le style androgyne : petit cul, petits seins, cheveux courts, en un mot garçonne. Denise, au contraire voluptueuse, avec ce qu’il fallait où il fallait : un joli cul massif, des hanches bien marquées, des seins en adéquation avec ses formes et pas une once de graisse, un centimètre carré de cellulite. En les rencontrant, le quidam lambda aurait ...
... parié que la plus « chaude » des deux était Denise. Comme quoi ! J’avais décroché, je marchais au radar. Antoine, ou plutôt ses mains baladeuses me ramenèrent à la réalité. — Tu es bandante, chérie. Vu la taille et la raideur de son mandrin, il ne faisait qu’énoncer une évidence. Pendant mon exhib’, son maillot de bain avait disparu des écrans. — Il faudra penser à t’acheter une perruque et à te débarrasser de ces poils disgracieux.— Et j’explique ça comment à Nadine ?— Ça, c’est ton problème bébé !— Et tes poils de couilles entre mes dents, tu comptes faire quoi ?— Rien, c’est moi l’homme. Il appuya son affirmation en m’attirant à lui. Après m’avoir roulé une pelle, tout en pelotant mes fesses à travers le cuir, il me retourna, releva la jupe et pressa sa bite contre ma raie. Ses mains s’étaient insinuées sous le petit haut. Du bout des doigts, il s’en prenait à mes tétons. L’expérience lui avait appris que c’était mon point faible. Un jour il m’avait dit : « - Il y en a qu’on mène par le bout du nez, toi c’est par le bout des seins ». Il n’avait pas tort. Lorsqu’il triturait, torturait mes tétons, il pouvait obtenir de moi tout ce qu’il voulait. Je devenais comme une chiffe molle entre ses doigts experts. Le salaud, tout en se masturbant entre mes globes, pinçait mes tétines tout en les étirant. Il serrait si fort que je ne pouvais m’empêcher de gémir. De plaisir ou de douleur, ou d’un mix des deux, je ne savais plus. Pour ne pas déroger, les premières gouttes de cyprines ...