1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements,

    ... s’échappaient de mon clito. Elles imprégnaient la mince étoffe du string. Je sentais leur chaude humidité sur mon sexe. Il relâcha brièvement son étreinte, le temps de sortir la ficelle du string de ma raie. Il positionna son nœud contre ma chatte frissonnante et, d’un coup, d’un seul, il s’enfonça jusqu’à la garde. Nul besoin de longue préparation, j’étais devenue très accueillante. J’aimais cette pénétration virile, mais sans brutalité où ses couilles venaient s’encastrer entre mes lunes. Après cette « entrée en matière » sportive, son gros dard coulissa presque langoureusement. Il se retirait entièrement. J’entendais le flop de son déculage. Puis il s’enfonçait lentement, profondément excitant ma prostate. Tout en couvrant ma nuque de baisers, il poursuivait la torture de mes tétons. L’opposition entre sa tendresse du vit et la brutalité de ses doigts déclenchait chez moi une extrême excitation : je coulais. Il allait devoir laver le string avant de le remettre dans les affaires de Denise. Il me repoussa et alla s’installer sur le lit : sur le dos, les fesses au ras du matelas, jambes largement écartées. — Descends ta jupe et viens me lécher, chérie ! À quatre pattes, je m’introduisis entre ses jambes. Je débutai par un nettoyage complet de son engin qui en avait bien besoin. J’avais beau avoir fait ce qu’il fallait ce matin, il restait toujours quelques résidus. Antoine, les bras croisés derrière la tête appréciait. Loin de pousser son excitation au paroxysme, ce moment ...
    ... de léchouille le délassait. Sa bite bien propre, je m’en prenais à ses testicules. Je les suçotais, les aspirais, les gobais. — Dix ! Un seul mot prononcé, mais je savais ce que ça voulait dire. J’avais dû le mordiller. Monsieur n’aimait pas que mes dents agressent ses boules. Si lors de notre première baise, Antoine m’avait clairement fait comprendre que son cul n’était pas pour moi, il avait partiellement changé d’avis. Ma langue, et seulement ma langue pouvait, à sa demande, y avoir accès. Pour me le faire savoir, il assenait une tape sur mon crâne. Ce qu’il fit. Pour me faciliter la tâche, il releva ses jambes. Ce n’est pas ce qui me plaisait le plus. Lécher sa rosette m’excitait, mais tous ses poils – un mâle ne se rase pas – me défrisaient. Plusieurs fois rentrant à la maison, il m’en était resté un ou deux entre les dents. M’enfin je m’attelai à mon ouvrage. J’aimais sentir ses muscles anaux frémir quand je titillais sa rosette du bout de ma langue. Depuis peu, il acceptait de se faire pénétrer. Le moins qu’on puisse dire est que ça ne le laissait pas indifférent. Il tortillait aussi bien du cul que moi quand mon substitut de pénis s’enfonçait et remuait dans ses chairs. Il ne résista guère et se releva prestement. J’eus la satisfaction de voir un peu de son jus couler de son méat. Quelque part, ça l’énervait et je savais que j’allais le payer. — Plus dix !— Pourquoi ?— Et encore dix pour poser des questions stupides ! Ça l’avait vraiment énervé ! — En position, Slut ! ...
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