1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements,

    ... Je m’agenouillai contre le lit, mon torse sur le drap, les mains croisées sur la nuque. Antoine roula la jupe sur ma taille, baissa le string sur mes genoux. — Tu comptes, espèce de pouf ! Le premier coup s’abattit sur la fesse droite. Antoine avait de grandes mains, et une main droite particulièrement performante quand, il s’agissait de me fesser. — Aïe ! Un.— Plus cinq ! Nous avions (plutôt, il avait) établi une règle : chaque fois que je criais, c’était cinq claques de plus. Il alternait les coups de manière aléatoire : fesse droite, fesse gauche, et parfois bien au centre. Si ses doigts frappaient alors mes couilles, je devais serrer les dents pour ne pas hurler et je n’y parvenais pas toujours. D’où les bonus. Je soupçonnais fort Antoine de provoquer les évènements suivant ses envies. Il m’avait révélé mes tendances masochistes d’abord avec mes seins puis avec mes fesses. Il n’était pas rare que je jouisse lors de ces séances. Aujourd’hui, il limita la puissance de son soufflet. Il avait d’autres envies. Malgré tout après que j’eus énoncé le nombre 35, j’avais chaud aux fesses. Il m’ordonna de me regoner ». Il se colla à moi et m’embrassa à pleine bouche. Empoignant mes globes contusionnés à pleines mains, il les malaxa sans ménagement. Si le contact du cuir froid sur ma peau enflammée avait eu un effet apaisant, ses caresses brutales engendrèrent une nouvelle douleur. — Mais tu bandes ma salope ! Il avait raison. À ma grande confusion, je bandais. C’était une première ...
    ... qui allait être immédiatement suivie d’une autre. Délaissant mon cul, il tomba à mes genoux. La jupe se retrouva une nouvelle fois roulée sur mes hanches. La pauvre, elle n’avait sans doute jamais été à pareille fête. Le string n’avait pas été un rempart suffisant et mon pénis – le volume et la raideur qu’il présentait ne m’autorisait plus à la traiter de clito – avait jailli à l’air libre. Sans hésitation aucune, Antoine l’absorba. D’abord abasourdis, nous n’étions plus du tout dans nos scénarios habituels, je me repris. Ses mains étaient revenues sur mes fesses, mais elles se montraient douces comme si le fait de pomper ma bite l’avait transformé. Nadine suçait nettement mieux que lui, mais la situation était tellement improbable qu’il m’amena très vite à la jouissance. Je crachai ma sève dans sa bouche. Il ne recula pas et avala comme une grande. Il bandait toujours comme un malade, je voulus lui rendre la pareille. Il refusa et prononça un seul mot : — Ton cul ! Ça urgeait manifestement. Je me retrouvai avec son dard fiché en moi jusqu’à la garde. Le temps de m’appuyer contre la cloison, il me pilonnait comme un malade. Il ne faisait pas dans la dentelle. Il m’avait cramponné par les hanches et me pistonnait furieusement comme si sa vie dépendait de cette jouissance. Il y allait si fort que mon pubis frappait parfois la paroi. Heureusement, cette charge de la brigade pas légère du tout fut brève. Dans un dernier assaut, il me colla au mur et déchargea son foutre dans mes ...
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