1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements,

    ... dans la rue.— On peut pas tout prévoir— En entrant, on a entendu des bruits très identifiables. Alors on s’est approchés en catimini. Quand on est arrivés, il était en train de te ramoner grave ! T’étais trop chou avec ta petite jupe en cuir roulée sur tes hanches. C’est à ce moment que Denise a failli péter un câble. Heureusement, tes gémissements ont couvert ses cris. ************* —Son of bitch ! Je vais le tuer! Qui c’est, c’tte salope avec ma jupe ? Je lui plaquai la main sur la bouche. — C’est Luis, c’est mon mari. Elle me regarda avec des yeux où se reflétait une grande confusion. Du doigt je lui indiquai la tête de celle qui se faisait baiser. À cet instant, Antoine repoussa Luis et prononça ces paroles historiques : — Descends ta jupe et viens me lécher, chérie ! Nous nous regardâmes, interloquées. Sans qu’un mot soit échangé, un sourire de connivence naquit lentement sur nos lèvres. Nous allions bien nous marrer. Nous nous sommes installées à croupetons, serrées l’une contre l’autre pour ne rien perdre du show de nos maris. Nous n’en avons rien perdu sauf que nous n’avions pas prévu certaines conséquences. Au début, nous échangions des regards d’incompréhension. Ils se transformèrent en regards amusés lors de la fessée. Je me penchai vers Denise et lui glissai au creux de l’oreille. — Ce n’est rien à côté de celle que je vais lui administrer très bientôt.— Je veux voir, me répondit-elle. En se penchant, elle m’avait offert, son t-shirt bâillant, une vision ...
    ... panoramique sur son buste. Elle avait une poitrine magnifique. J’en étais un peu jalouse. Avec mes deux œufs sur le plat, je ne faisais pas le poids. Dans l’instant, ses nénés se soulevaient sur un rythme un peu bizarre, ses tétons tendaient le soutif. Cette scène flirtant avec le sm ne la laissait pas indifférente. Moi non plus d’ailleurs, ma petite culotte s’humidifiait. Quand Antoine tomba à genoux pour sucer mon mec, je n’eus plus aucun doute. Sa respiration devenait haletante, sa main s’était crispée sur mon avant-bras. L’autre avait plongé sous sa jupe. Elle allait nous faire repérer. Je la tirai vers la sortie. Elle résista un peu, mais par gestes, je réussis à lui faire comprendre son état et ce qui allait se produire. Nous traversâmes précautionneusement le salon et la cuisine. Une fois à la voiture, Denise démarra sans dire un mot. Au lieu de prendre la direction de Nice, elle partit vers la montagne. — C’est quoi l’histoire ?— Y’ pas de raisons qu’ils soient les seuls à prendre leurs pieds ! Elle tourna dans un chemin forestier. Je compris où elle nous emmenait : la petite clairière que nous avions traversée quelques jours auparavant. J’étais pas sûre de comprendre les intentions de mon amie. Et si je les avais bien comprises, je n’étais pas sûre d’être partante. Je n’avais jamais été attirée par les filles. D’un autre côté, ce pouvait être une vengeance pas du tout désagréable et la séance que je venais devoir m’avait bien excitée. Alors ! La voie carrossable se terminait ...
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