Une histoire simple, quoique !
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hagé,
hépilé,
vacances,
hsoumis,
revede,
hféminisé,
Oral
init,
Gay
vêtements,
... après un virage serré pour se transformer en sentier étroit. Denise stoppa la voiture, récupéra un plaid à l’arrière et s’engagea entre les arbres. Elle se retourna. Me voyant encore figée sur mon siège, elle m’apostropha : — Allez viens ! C’est notre tour. Mon bas-ventre me murmura : « vas-y ». Quelques centaines de mètres plus loin, bien dissimulée se trouvait une petite aire dégagée propice aux étreintes cachées. Antoine avait déliré sur la végétation piétinée disant que « ça avait dû baiser grave pour piler l’herbe comme ça ». Quand j’arrivais, elle avait déjà étendu la couverture, ôté sa culotte et enroulé sa jupe comme Luis. Sa chatte luisant de cyprine était surmontée d’une toison se limitant à un trait de poils bruns bien taillés. J’éclatai de rire. — Tu me trouves ridicule, c’est ça ?— Non pas du tout ! Pour le lui prouver, je m’approchai, et posai un doigt sur son restant de pilosité. — Je parie que c’est Antoine qui t’as demandé de tailler ton minou.— Luis t’a demandé la même chose ?— Gagné ! Je levai ma robe, baissai mon string et lui montrai ma flèche dorée. — Huuum ! Tu as une jolie petite mangue bien juteuse. Toi aussi ça t ‘a excitée, j’ai bien vu. Elle plaça ses mains sur mes épaules. D’une douce pression, elle me fit comprendre que je devais m’agenouiller. On savait faire ça dans la famille. Plutôt que de me taler les genoux, je m’accroupis sur mes talons. Sa main droite s’était déplacée derrière ma nuque et poussa ma tête ver sa féminité. — Viens, Nadine ! ...
... J’en peux plus ! Fais comme ton petit mari ! Lèche-moi. Je résistai quelques secondes, mais la curiosité sinon l’envie l’emporta. Je joue un peu les hypocrites, j’étais excitée et tout aurait été bon pour satisfaire cette excitation. J’appliquai mes mains sur la face intérieure de ses cuisses et l’obligeai à s’ouvrir. J’avançai suffisamment ma tête, je la penchai en arrière pour qu’elle se retrouve à l’aplomb de son sexe. Position inconfortable, mais stratégique. Je promenai d’abord le bout de ma langue tout du long de sa fente. Démarrant au contact de son clito, elle atteignait en bout de course son entrefesses. Elle se montrait inquisitrice aux points de départ et d’arrivée. Sans surprise, chaque fois que ma langue flirtait avec son bouton, elle sursautait. Par contre lorsqu’elle insistait sur le périnée, une légère plainte venait troubler le chant des oiseaux. Comme moi, elle aimait ça. Elle aimait tellement qu’elle avait empoigné ses fesses et les ouvrait pour que ma langue aille plus loin. À force de gesticuler, elle en avait oublié les règles de l’équilibre. Elle glissa, mon nez entra sans frapper dans sa vulve et son cul dénudé fit connaissance brutalement avec la fraîcheur du sol. Je l’aidai à se relever. Il nous fallait trouver une position moins périlleuse. Sans que je lui demande quoique ce soit, elle s’allongea sur le dos, remonta ses cuisses serrées sur sa poitrine. J’avais ainsi un accès privilégié à ses lieux de plaisir. Je décidai d’alterner les attouchements ...