1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements,

    ... sur son sexe et vers son petit trou. Plus ma langue approchait de son anus, plus sa plainte s’intensifiait. J’osai enfin le titiller. J’écartai bien ses globes et tentai, du bout de la langue, de pénétrer son entrée de service. La réaction fut instantanée. Sa main plongea entre ses cuisses et se branla férocement le clito. En quelques secondes tout fut terminé. Sa plainte s’interrompit brusquement, son corps se cabra brièvement. Elle s’affala sur le plaid. Je me glissai à ses côtés. Je voulus la prendre dans mes bras. Elle se débattit me tourna franchement le dos. Qu’est-ce qui lui prenait ? Soudain, des reniflements caractéristiques montèrent de sa gorge : elle sanglotait. Le retour à la réalité s’accomplissait dans la douleur. Elle s’était vengée. Mais rendre la pareille à Antoine n’avait pas effacé sa peine, sa douleur. Les pleurs avaient sapé sa résistance. Sans aucun effort, je la fis basculer et l’attirai contre moi. Je la câlinai, baisai son visage, léchai ses larmes et lui murmurai des mots de réconfort. — Ce n’est rien, ma poulette. Pense que tu as bien joui. Tu lui as bien rendu la monnaie de sa pièce. On s’est bien éclaté puis nos deux mecs qui baisaient c’était plutôt cool. Ses larmes s’étaient taries, mais je continuais à lui prodiguer moult caresses d’apaisement. Elle respirait plus calmement, son corps s’alanguissait, ses mains m’enlaçaient. Je continuais de broder sur les mêmes thèmes quand, tout à coup, elle éclata de rire. — Tu n’y es pas du tout Nadine ! ...
    ... T’as tout faux ! Je me reculai, éberluée. Elle passa tendrement la main sur ma joue, remontant ensuite dans ma chevelure. — Les voir baiser, c’était génial ! Voir mon macho de mari sucer Luis, c’était divin. Si tu savais ce que j’en ai marre d’Antoine, sa grosse queue et ses manières de macho.— Alors pourquoi ces pleurs ?— Parce que…, balbutia-t-elle. Elle avait retrouvé tout son sérieux. Les mots avaient du mal à sortir. — Parce qu’il y a longtemps que… enfin tu m’attires beaucoup et j’aurais pas voulu que ça se passe de cette manière. J’aurais voulu qu’on se découvre, qu’on…— Ben on aura tout le temps et en plus on tient nos maris par le bout de la queue— Tu as raison. Et on sera en retard pour le repas !— On leur ramènera des pizzas ! Ses lèvres vinrent chercher les miennes et nous partîmes à la découverte. ************* — Ben vous ne vous êtes emmerdées non plus ! Tu me racontes.— Désolé, ça, c’est entre Denise et moi. La seule chose que je peux te dire que c’était phénoménal. Le récit de ma femme avait réveillé nos libidos. Nous avions chacun la main sur notre sexe. Je m’apprêtais à l’entreprendre de façon traditionnelle quand elle s’assit sur le lit, laissant pendre ses jambes ouvertes à l’extérieur. Elle amena ses fesses au ras du matelas. La garce, elle se fichait de ma figure. Ses paroles ne m’étonnèrent guère. — Descends ta jupe et viens me lécher, chéri! C’est ballot, t’en as pas ! Bah, on fera sans ! Allez chéri, continua-t-elle en m’indiquant le sommet de son ...