1. Une histoire simple, quoique !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, ff, hh, hagé, hépilé, vacances, hsoumis, revede, hféminisé, Oral init, Gay vêtements,

    ... ne me contractai pas ! Au contraire, j’avais envie que ses doigts me… Il rythmait mon pompage par une litanie hautement intellectuelle : — Nom de Dieu que c’est bon ! Ouuui ! Continue ! Vingt dieux, tu suces mieux que ma femme ! Ta langue… Arrête ! Encore ! Oui, mouille bien ! Ben mon cochon, si j’avais pensé. Sa main, le ton de sa voix plus que ses mots me mettaient dans un état pas croyable. J’étais sa gonzesse ! Je mouillais. Si, si ! Ma bite toute molle bavait un cyprine brûlante. Je tortillais du cul pour que son doigt force mon œillet. Lui tout à son plaisir n’en avait cure. Soudain sa bite tressauta et j’en pris plein la bouche. Aucun dégoût, aucune envie de recul, j’avalai son foutre sans hésitation. Foutre si abondant qu’il déborda, coulant aux commissures de mes lèvres, dégoulinant sur mon menton. Quel goût, il avait ? Aucune idée. Juste le souvenir extatique de cette substance glaireuse qui me remplissait la gorge. J’éprouvai une jouissance peu commune, uniquement cérébrale, mais très intense. Lorsque je l’eus bu jusqu’à la dernière goutte, j’abandonnai sa bite. Cédant à une envie irrépressible, je cherchai ses lèvres et l’embrassai à pleine bouche. Il répondit à mon baiser, goûta à son foutre qui maculait mes joues. Naturellement, il porta sa main entre mes cuisses, palpant mon service trois-pièces. Je sentis son étonnement quand il constata sa mollesse. Il se redressa, ouvrit mon futal : — T’as pas joui ! T’es excité comme une puce et tu ne bandes pas ? La ...
    ... réplique fusa instantanément. J’eus l’impression que ce n’était pas moi qui parlais. — T’as déjà vu une femelle bander ?— Ben le clito de Denise bande plus dur que ta bite ma chérie, ricana-t-il. Mais si t’es une femelle, tu dois bander ailleurs. Ôte ta chemise. Je m’exécutai. — Regardez-moi ces tétons. Des vrais tétons de gonzesse ! Et durs avec ça. Il les avait saisis entre ses gros doigts sans précaution inutile et les pinçait. Je ne pus retenir un gémissement. — Mais c’est que tu aimes ça ! C’est vrai que j’aimais ça. Nous n’avions aucune relation sado-maso avec Nadine, ma femme, mais elle me faisait régulièrement les bouts. Parfois même, si elle se montrait suffisamment dure, j’en jouissais… mais en ayant eu une érection normale. Antoine tirait sur mes tétons, les tordait, les pressait déclenchant mes soupirs plaisir/souffrance. Je le suppliai d’une voix que je ne connaissais pas : — Oui ! Encore ! C’est ça ! Écrase-les ! Torture-les ! Ne sois pas timide ! Fais-moi mal, Antoine, Antoine, Antoine! Envole-moi au ciel… zoum! Il se prenait au jeu. Il ne se retenait plus. Il me travaillait les tétons avec une violence que Nadine n’avait jamais atteinte. Je pleurais de douleur, mais je ressentais un plaisir inédit. Je jouis de nouveau, mais cette fois celle-ci se matérialisa. — Oh la salope ! Tu coules comme une gonzesse. Il avait raison, je n’éjaculais pas, comme un vrai mâle, en de puissants jets, mais mon sperme s’écoulait mollement de ma pine : je mouillais comme un grande. — Eh ...
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