Une histoire simple, quoique !
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hagé,
hépilé,
vacances,
hsoumis,
revede,
hféminisé,
Oral
init,
Gay
vêtements,
... S’aidant de ses avant-bras, sans lâcher mes seins, il m’écartela pour s’enfoncer encore plus profondément. Son but atteint, il chercha ma bouche. Baiser passionné. J’étais sa gonzesse, je me soumettais à ses envies. Il malaxait ma poitrine. Sa queue, imperceptiblement, se mettait en mouvement. Accélération progressive. Massage de prostate, un délice. Jamais rien ressenti de tel. Le moelleux d’une bite n’a rien à voir avec la « non-vie » d’un gode ou la rigidité de doigts. Son bâton coulissait de plus en plus rapidement. Ses paumes plaquées contre ma gorge, ses ongles pinçant spasmodiquement mes pointes. Sa queue à chaque tour sortait maintenant complètement de mon vagin pour s’y réengouffrer immédiatement. Ma rondelle distendue n’avait pas le temps de se refermer. Délire complet. Ma cyprine coulait, coulait sur mon ventre agité de tremblements incoercibles. Je jouissais sans discontinuer dans un feulement ininterrompu que sa bouche plaquée à la mienne ne parvenait à empêcher. Je ne sentais plus mon corps, je ne sentais que sa bite qui ramonait vigoureusement mes entrailles. Bite qui remplissait mon intérieur. Bite qui palpitait. Bite qui soudain parut exploser. Sensation extraordinaire des parois de mes intestins se tapissant de son foutre gluant. Flash. Jouissance ultime. Putain, que c’était bon. Retour au calme. Bite qui se ramollit, se racornit, s’éjectait doucettement de mon nid poisseux. Mon génial tortionnaire se laissa aller sur moi. Ma cyprine maculait son ventre ...
... collé au mien. Stoppant son baiser fougueux, la bouche en cœur, il s’enquit : — Tu as aimé ma chérie. Son intonation et sa mine dénotaient plus une affirmation qu’une question. Il est vrai que mes réactions ne laissaient guère de doute. — Aimé, le mot est faible ! C’était génial.— Pour moi aussi ! Tu te rends compte à côté de quoi on est passé jusqu’à là ! Une bonne douche et deux whiskys plus tard, nous avions décidé de ne pas nous en tenir là. Et nous tînmes parole. Nous passâmes les deux dernières nuits à baiser jusqu’à plus soif. Enfin jusqu’à plus soif pour moi, car il ne dérogea jamais de son rôle de mâle. Dans notre couple, j’étais la femelle. Si Antoine daignait me caresser la verge, jamais il ne me suça. D’ailleurs, je n’en avais aucune envie. La logique et le bon sens auraient voulu que notre aventure s’arrêtât avec la fin du séminaire. Sauf que… ************* La logique et le bon sens auraient voulu que notre aventure s’arrêtât avec la fin du séminaire. Sauf que, au-delà de notre aventure sexuelle transgressive, une amitié était née. Même philosophie de la vie, passions communes, nous nous entendions merveilleusement bien. Cerise sur le gâteau : nos femmes, Nadine et Denise, dès la première rencontre, s’étaient bien accordées. Avec Antoine, nous nous découvrîmes une passion commune pour le tarot, ce qui nous donna une bonne excuse pour nous rencontrer le vendredi soir. Nous prîmes nos habitudes dans un hôtel à mi-chemin entre Lyon et Sté. Au fil des semaines, je ...