Une histoire simple, quoique !
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
hagé,
hépilé,
vacances,
hsoumis,
revede,
hféminisé,
Oral
init,
Gay
vêtements,
... devenais de plus en plus la « petite salope » à son mâle. Et mon mâle ne manquait ni de ressources ni d’imagination. En parallèle, notre relation amicale couple à couple se renforçait. Il n’était pas rare que nous passions le week-end chez l’un ou l’autre. Aussi lorsqu’Antoine nous proposa de partager le gîte qu’ils avaient loué dans l’arrière-pays niçois pour début septembre, nous acceptâmes immédiatement. Les deux premiers jours se déroulèrent très agréablement, mais, le lundi, je sentais bien la frustration d’Antoine. Nos chambres avaient une cloison commune, et si comme il me l’avait avoué avec Denise c’était devenu très alimentaire, Nadine et moi nous nous envoyions en l’air régulièrement. Or le dimanche soir, nous avions fêté les vacances et Nadine a la jouissance bruyante et descriptive. Aucun doute, la chambre à côté avait profité de son commentaire sportif. Aussi, quand le mardi matin, Denise proposa à Nadine d’aller passer la matinée à Nice entre filles, je m’empressai de l’encourager d’accepter. Antoine renchérit disant que ça nous permettrait d’avoir une activité plus sportive. En entendant ses paroles, j’en avais des titillements dans le bas-ventre. Sa queue me manquait. La voiture de nos femmes à peine disparue, Antoine m’agrippait par les cheveux et amenait mon visage à la hauteur de son maillot de bain. Un moule-bite déjà déformé par une bandaison naissante. Incontestablement, ma bouche aussi lui manquait. Je plaçai comme c’était devenu l’usage, mes mains ...
... derrière mon dos. Je commençai à lutiner son mandrin à travers le lycra. En apéritif, je léchai longuement, sur tous les angles possibles, la bête qui ne cessait de grossir. La pauvre se sentait de plus en plus à l’étroit. Pour ne pas qu’elle s’étouffe, je pris le haut du maillot entre mes dents et le tirai à moi. Soudain la bite se dégagea de sa gangue. Dans un élan libérateur, elle se redressa fièrement arrivant à la hauteur du nombril. Je lâchai l’élastique qui, claquant contre la peau tendue, emprisonna de nouveau le sexe bandé. Seul dépassait le gland décalotté. Je le couvris de baisers puis vint l’heure de la mise en bouche. Opération rendue difficile, car il était plaqué contre le ventre. Antoine vint à ma rescousse, en descendant suffisamment son slip. Je pris son nœud entre mes lèvres. Avec l’expérience, je n’avais plus aucun mal à l’absorber. Je parvins sans difficulté, une fois gobée, à tourner autour avec ma langue. Dans une geste tendre, Antoine passa une main derrière ma tête, exerça une ferme poussée sur ma nuque. Il stoppa lorsque j’eus totalement englouti son vit. Son gros dard maintenant allait facilement au-delà de ma luette. Il me maintint ainsi mes lèvres collées à son pubis. Je sentais ma bave qui dégoulinait, tombant à grosses gouttes sur ma poitrine. — Tu aimes ça ma petite chérie que ton homme te remplisse. J’étais à deux doigts d’étouffer, mais oui, j’aimais ça. Lui aussi. Denise n’avait jamais accepté de gorge profonde ( vu la taille de l’engin et celle ...