Belle famille - Histoires de Sexe

Belle famille

"J’espère que tu ne seras pas choqué, mais mes parents pratiquent le naturisme et il leur arrive d’oublier que nous ne sommes pas tous comme eux …" Je me rendais avec ma fiancée pour la première fois dans sa famille et c’est par ces mots qu’elle m’avertit de ce qui m’attendait, un avertissement bien en dessous de la réalité, mais rien n’aurait pu me préparer à ce que j’allais vivre ! "Mon père, Lucien, est un colosse, une force de la nature, mais au fond c’est un tendre. Dominique et moi tenons de lui notre carnation claire et nos cheveux blonds. Ma mère, Josiane, est son opposé presque parfait, petite, très brune, aussi enjouée qu’il est taciturne. Ils nous ont eu très jeunes : ma mère a fêté ses quarante ans l’an passé. Dominique est mon jumeau… Enfin faux jumeau car les vrais sont toujours du même sexe. Encore que parfois je me demande si, au fond, il n’est pas né garçon par erreur ! Tu verras aussi ma tante Claudine, qui vient souvent passer le Week-end. Elle est divorcée depuis 5 ans; pas d’enfant, pas de mec stable, elle a tendance à boire pour compenser… Pas réjouissant, mais elle est gentille. Au physique elle ressemble plutôt à son beau-frère qu’à sa soeur aînée. Mais ne te fie pas à son blond vénitien, il est bidon". Nous nous connaissions depuis trois, quatre mois et nous nous entendions bien. Pas un tremblement de terre au pieu, mais une confiance spontanée qui annonce les liaisons durables. Et surtout, plein de choses à nous dire sur nos vies, nos enfances, nos ...

... espoirs, ce que nous aimions, ce qui nous énervait… Bref ce vendredi du début de l’été, sur les petites routes du Morvan, j’étais heureux et confiant. Camille était une jolie fille, pas une bimbo, mais de celles dont la grâce s’impose dans le temps; des petits seins qui remplissaient parfaitement la paume de mes mains, des jambes parfaites et un sourire éclatant. Camille emprunta un petit chemin au Nord, passé Quarré les tombes. La route longeait un cours d’eau dans un sous bois; on apercevait les contours d’un étang sous les frondaisons. Nous franchîmes la grille d’une propriété. Nous y étions. Deux voitures : "il n’y a pas celle de ma tante, pourtant ma mère m’a dit qu’elle était arrivée". Nous avons pris nos sacs et les avons déposés dans la maison sans voir personne; "ils doivent être au bord de la piscine". Très beau point de vue sur les collines boisées, un parc avec de grands arbres, un joli bassin dont les mosaïques ornant le fond représentaient des animaux marins… J’enregistrais tout cela sans y prendre garde car un spectacle autrement plus captivant accaparait mon attention : un grand corps pâle allongé sur un transat, une queue de fort belles dimensions érigée et, penchée sur elle, une tête brune qui suçait avec application La femme agenouillée, nue sous son bronzage, nous tournait le dos. Son cul était tendu dans notre direction, ses hanches marquées sous une taille fine. Sa position faisait ressortir l’anus couronné de poils noirs et abondants et, en dessous, la ...