Belle famille - Histoires de Sexe

Belle famille

... fente que l’on percevait poisseuse, soit qu’elle vînt de se faire mettre, soit qu’elle mouillât d’abondance dans cette perspective. Mais cela aussi je ne l’enregistrais qu’en une seconde, car ils nous avaient entendus et réagissaient vivement : Elle se redressa et saisit une serviette pour se l’enrouler autour de la taille en se tournant vers nous; il s’empara de son maillot de bain et s’assit au bord du transat pour l’enfiler. J’étais horriblement gêné, mais Josiane s’avança avec beaucoup de naturel : "Vous avez fait bon voyage ? On est content de vous voir, Dominique et Claudine sont partis au village, alors on prenait un peu de distraction". Elle rit franchement, d’un rire éclatant, qui mettait tout son visage en mouvement. Ses yeux pétillaient de malice. Sa fille en avait hérités, et aussi de son expression vive, enjouée, de son sourire radieux. Pour le reste Josiane était petite et hâlée, avec des cheveux très bruns coupés courts, fine d’épaules avec de très gros seins qui tenaient très bien mais dont on se demandaient ce qu’il faisaient sur un buste aussi mince. Je bafouillais "Je suis désolé". Elle m’arrêta d’un geste "Allons, il faut que je vous embrasse" Et elle m’attira contre son abondante poitrine dont je sentais, à travers ma fine chemise, les gros tétons érigés au milieu des larges aréoles brunes pressés contre mes côtes. Si la stupéfaction l’avait retardée, ma réaction à ce contact fut fulgurante et je bandais comme un ours. Elle ne put que le sentir car son ...

... ventre frôlait ma queue ! Elle n’en tint aucun compte et saisit sa fille par le cou : "alors ma chérie…" et elle l’entraîna à l’intérieur. Lucien me serra la main assez chaleureusement, pas rancunier à cause de cette interruption, mais je notais que son membre faisait une bosse énorme sous son caleçon; voilà quelque chose que nous avions en commun. Camille n’avait marqué aucune émotion depuis notre entrée dans le jardin. Après avoir embrassé son père et échangé quelques mots avec sa mère elle se tourna vers moi : "Viens, on va installer nos affaires dans la chambre et je vais te faire visiter la maison". Après quoi j’exprimais le désir de prendre une douche. La salle de bains se trouvaient entre deux chambres : "Nous faisons douche commune avec mes parents". J’étais déshabillé et je n’avais pas débandé depuis notre arrivée. Elle me tournait le dos, je la saisis par les épaules, remontais la jupe sur ses hanches et appuyais ma queue contre ses fesses à travers le coton de sa culotte pendant que mes mains s’emparaient de ses mignons petits seins, sous le Tshirt et en excitaient les pointes. Elle se dégagea en riant, me fit face en me passant sa langue dans la bouche et en me flattant la queue de la main : "Et bien, on dirait que le lieu t’inspire… mais tu attendras, j’ai à faire… Allez ! sous la douche et tout seul !" Je maugréais en me séchant : la vache, me laisser dans un état pareil… À cet instant j’entendis qu’on entrait dans la chambre des parents dont je constatais avec ...