Belle famille - Histoires de Sexe

Belle famille

... agacement que Camille n’avait pas refermé la porte de communication. Je voulais me manifester mais il était déjà trop tard, Josiane avait laissé tomber sa serviette et avait tiré jusqu’aux chevilles le caleçon de son mari sur qui, assise sur le lit, elle reprenait sa fellation où elle l’avait interrompue. Il était écrit que je devais assister à cette pipe ! Je ne perdais rien du spectacle car la porte de la salle de bains était recouverte d’un grand miroir renvoyant l’image captée par la glace de l’armoire située au pied du lit ! Bien sûr j’aurais du signaler ma présence d’une façon ou d’une autre. Mais j’étais à la fois gêné et terriblement excité… je n’étais pas sorti de la cabine de douche de sorte que j’étais peu visible et je bandais à en avoir mal. Bref, je ne fis rien sinon regarder… Pire encore, après quelques instants, je commençais à me masturber. Elle suçait avec un enthousiasme à vous rendre confiance en une France amollie par les 35 heures ! Elle dévorait la queue de son mari. Ses joues se creusaient quand elle suçait le gland, elle enroulait sa langue autour de la hampe en même temps qu’elle faisait sauter les couilles énormes comme si elle ne se lassait pas d’en apprécier le poids ou bien encore, les deux mains sur les fesses de Lucien elle l’aspirait comme un avaleur de sabre, ses lèvres allaient buter contre les poils de son homme… Bon sang comment faisait-elle ça ? Elle devait l’avoir jusque dans l’oesophage ! Puis elle la recrachait doucement… l’énorme ...

... engin ressortait centimètre après centimètre, couvert de salive qu’elle récupérait à petits coups de langue avant, d’un seul coup, de l’enfourner à nouveau… Quelle suceuse ! Bien supérieure à sa fille qui se contentait de léchouiller et de suçoter le gland. Les yeux clos, la tête renversée, Lucien appréciait. "Assez joué, il faut que tu m’encules !" Elle s’installa à quatre pattes sur le lit, la tête dans les oreillers mais le visage tourné vers la glace pour ne rien perdre du spectacle de la verge tendue qui se dirigeait vers elle. Le cul rehaussé elle présentait ses fesses à la glace de l’armoire et je n’en perdais pas une miette. L’oeillet velu et plissé semblait me regarder; l’entaille sombre du sexe baillait comme un appel. Elle se prit les fesses entre les mains et les écarta : "Regarde comme je suis ouverte, enfile moi ton gros machin !" Lucien s’agenouilla derrière elle, me masquant l’essentiel. Il enfonça le pouce dans l’anus offert. Elle se cambra. Il guida sa queue d’une main, c’était vraiment un bel engin ! Il l’appuya contre l’anus et l’enfonça d’un mouvement rectiligne. Je voyais les mains de la femme se crisper sur les draps pendant que l’homme lui emplissait le ventre, mais pas un instant elle ne tenta de se dérober à la poussée. Quand l’objet fut entièrement dedans elle laissa échapper un gémissement et elle avança le bassin pour le faire ressortir, puis ce fut elle qui revint à la rencontre de l’épieu qui allait lui échapper. Mais l’homme impulsait son rythme, ...