Belle famille - Histoires de Sexe

Belle famille

... profond et régulier, je ne voyais plus que ses fesses et les poings de la femme qui tirait les draps chaque fois qu’il venait buter au fond d’elle, de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Au début elle parlait et semblait jouir de ses obscénités : "Tu me fends le cul… j’aime que tu me défonces… Mets la moi, ta grosse bitte… Vas-y, défonce moi !" Puis je ne perçus plus rien d’intelligible, un long feulement accompagnait la montée de son plaisir. Enfin elle se mit à crier. Elle donnait des coups de cul pour venir à la rencontre du membre qui la perforait et brutalement interrompit son mouvement en cognant ses fesses contre le ventre de l’homme. Elle tremblait de tous ses membres, elle gémissait comme si elle était submergée par la vague de sa jouissance. Brutalement elle se dégagea d’un coup de hanche, renversa son mari sur le lit et s’empara de sa queue qu’elle avala goulûment… Après quelques mouvements de succion il fermait les yeux et accompagnait du bassin le mouvement de la bouche qui l’absorbait. Puis il se crispa, les hanches levées à la rencontre du visage de sa femme. Il jouissait. Je vis distinctement Josiane déglutir trois ou quatre fois pour avaler ce qu’il lui balançait dans la bouche. À cet instant je giclais moi aussi et mon foutre alla s’écraser contre le pare-douche. Elle ne l’avait pas lâché comme si elle voulait surtout ne pas en perdre une goutte, puis elle se cocouna contre lui sans lui lâcher la queue. "Ah, j’en avais envie … ...

... c’était frustrant. J’étais contente de voir Camille et Boris mais ils sont arrivés un quart d’heure trop tôt ! … Il a l’air gentil ce garçon" Il acquiesça sans conviction. "Oh toi, bien sûr … la seule idée qu’un garçon puisse te prendre ta fille… Bon allez, je vais prendre une douche avant de préparer le dîner". Le ciel me tomba sur la tête. Quel con !… À quoi est-ce que je m’attendais ? Je cherchais désespérément une idée… mais je ne trouvais rien ! Le gentil garçon n’allait pas tarder à faire une chute tragique dans l’estime de sa belle-mère ! Elle entrait dans la salle de bain et je me recroquevillais dans la douche en plaçant ridiculement une main sur mon sexe. Elle chantonnait et s’arrêta brutalement en m’apercevant. Elle me dévisagea, stupéfaite. Ses yeux s’attardèrent sur la main qui ne parvenait pas à contenir une verge débordante car si j’étais effondré, j’avais visiblement omis d’en aviser l’étage inférieur ! Elle enregistra la présence des traînées de sperme qui maculaient la vitre. Puis elle fit un geste tout à fait inattendu, un geste qui, si je l’avais accompli moi-même, m’aurait peut-être sauvé du ridicule, elle mit un doigt sur ses lèvres. Elle tourna la tête et regarda dans sa chambre. Elle vit son mari, les yeux toujours fermés, et prit conscience du spectacle dont j’avais jouit. Elle fit un pas en arrière et tira la porte sans la fermer, elle revint vers moi, saisit la main qui masquait mon sexe et me tira hors de la douche. Du doigt elle montra la porte de ...