1. Belle famille


    Datte: 15/07/2020, Catégories: fh, fhh, grosseins, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral fsodo,

    ... ma chambre. Je la remerciais des yeux. Elle me regardait intensément comme si elle cherchait dans mon regard la réponse à une question informulée. Elle attrapa le membre qui n’avait pas débandé et le serra fortement, à me faire mal. Puis elle ouvrit la porte de communication et verrouilla derrière moi. Je tremblais de tous mes membres… C’est une expression toute faite car en vérité ma queue ne tremblait pas du tout. Mais comprenez-moi, la peur de provoquer un scandale, le soulagement… et la sensualité animale de ma belle mère… Tout cela me retournait le sang ! Et je ne savais pas comment interpréter son geste. J’y voyais comme le scellement d’un pacte, pacte de silence, sans doute car telle était la réalité et nous partagions quelque chose. Mais à quoi nous engageait-il pour l’avenir ? Je me laissais choir sur le lit, la queue piquant vers le ciel et j’écoutais les bruits de la douche. Camille entra… un peu surprise de ma posture : "c’est d’entendre ma mère prendre sa douche qui te met dans cet état ?" Je lui fis mes yeux de merlan frit, elle gloussa "et qu’est-ce que tu veux faire de ça ?" dit-elle en jouant avec ma bitte. J’avoue que l’idée de lui répondre : "la mettre dans le cul de ta mère" m’a traversée l’esprit… Mais j’étais trop secoué pour trouver quelque chose qu’elle pouvait entendre. Je me contentais donc d’un sourire niais qu’elle eut la bonté de prendre pour argent comptant en se déshabillant… Elle se pencha sur moi pour me prendre dans sa bouche. Après ce que ...
    ... je venais de voir je ne pouvais me contenter de sa manière velléitaire et maladroite de me sucer et quand elle m’eut agacé quelques instants, je la renversais et collais ma bouche à sa fente. J’adorais la sucer. J’aimais la franchise du dessin de ses lèvres et du petit bouton que je faisais rouler sous ma langue, la netteté de l’entaille sous les poils blonds et clairsemés, son odeur, toujours fraîche au début qui s’épiçait au fur et à mesure que ma langue s’appliquait à tirer d’elle le lait et le miel. J’aimais par dessus tout son goût, ni mièvre ni âpre, juste délicieusement acidulé, qui devenait plus fort quand sa mouille commençait à me couler dans la bouche. J’ai toujours aimé lécher le sexe des femmes. En général mon goût pour une femme déterminée décroît aussi vite rapidement que devenons plus familiers. Je me suis souvent interrogé sur cette singularité : je ne suce jamais avec plus d’enthousiasme que des inconnues ! Mais mon désir de prendre Camille dans ma bouche ne décroissait pas. Cette exception signait mon attachement à elle. Elle avait fait beaucoup de danse classique dans son enfance. Elle était encore capable de faire presque un grand écart; si cette performance n’avait en général guère d’utilité, j’adorais, quand je la suçais, lui faire prendre cette pose. Ma langue parcourait alors tout le sillon à grands coups, s’attardant sur l’olivette, qu’elle agaçait, et sur l’oeillet, qu’elle tentait de forcer. À cet instant en général elle se dégageait en me disant ...
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