1. Hautefort au mois d'août. (4)


    Datte: 16/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... dans mon dos jusqu’au bas de mes reins. Ma porte s’entrouvre alors sous quelques coups frappés discrètement. Je ne réponds pas. Un coup d’œil au miroir devant moi confirme mon intuition. Il apparaît dans l’entrebâillement et pénètre nonchalamment dans la pièce. Toujours assise devant la coiffeuse, je reste immobile et romps le silence d’un ton qui se veut indolent : - "J’espérais que tu me rejoignes sous la douche. - Ah oui ? C’est un peu cliché non ? " Manifestement la situation l’amuse. Il s’approche d’une démarche féline et s’arrête dans mon dos. Sans rien demander, il me prend la brosse des mains et entreprend de me coiffer. À ma grande surprise il est très délicat, en quelques gestes mes cheveux sont démêlés. Il se penche au dessus de mon épaule, je retrouve furtivement son odeur, il attrape un élastique et forme rapidement une queue de cheval. - « Voilà, c’est mieux comme ça. » Il saisit alors délicatement l’extrémité de ma chevelure et s’en sert comme d’un pinceau, dessinant des formes imaginaires dans le creux de mon cou, le long de mes clavicules, descendant très lentement vers la naissance de mes seins. Je ne dis rien, je ne bouge pas. Je soutiens simplement son regard par miroir interposé. - « Tu as conscience que je pourrais te prendre là, tout de suite, sur ton lit ? Je sais que tu en as envie aussi. Ta chatte palpitait contre ma bite ce matin. » Je conserve un calme olympien face à son arrogance ridicule de mâle sûr de lui. Bien entendu que j’en crève d’envie ! ...
    ... Je boue intérieurement de désir, de frustration, d’énervement. Tout se mélange. Il pourrait faire ce qu’il veut de moi, absolument tout mais c’est à moi de jouer à ce jeu stérile. J’aurais bien passé mon tour mais vu son numéro de provocation gratuite, je ne lui offre qu’un mot ; une syllabe prononcée d’une voix atone: - « Sors. » Il semble surpris, arque un sourcil et finalement sourit à demi. Je me lève alors en laissant délibérément tomber ma serviette humide. Comme espéré, son attention est comme aimantée par mes courbes de jeune fille. Un court instant il perd son masque d’homme suffisant. Ses lèvres se pincent, je l’entends déglutir avec difficulté. Il n’est qu’à deux mètres de moi. Il me détaille en silence, scrute mes seins arrogants, mon ventre plat, ma cambrure marquée annonçant un petit cul ferme qui surplombe mes cuisses joliment fuselées. Je me penche indécemment pour attraper mon téléphone sur la table de nuit lui offrant une vue imprenable sur ce qu’il n’obtiendra pas aujourd’hui. Il fait un pas vers moi. Hésite, cherche mon approbation. Puis un dernier pas. Il est très prés, dangereusement prés. Je m’assieds sur le bord du lit ; ma tête est juste à hauteur de sa braguette. La fièvre habite à nouveau son regard. Je distingue nettement sa queue enfler sous le tissu de son pantalon. Je crève de désir. Je n’aurais qu’à tendre la main pour sentir à nouveau la chaleur de sa bite qui me glissait entre les doigts un peu plus tôt dans la journée. Un geste. Il suffirait ...
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