1. Hautefort au mois d'août. (4)


    Datte: 16/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... d’un geste… je sais que je ne tiendrai plus très longtemps. D’un petit mouvement sec du menton je lui indique la sortie. Il prend alors un air narquois, effleure ma joue de sa main droite et murmure : - « J’aime quand tu boudes, c’est reposant. » avant de tourner les talons et de disparaitre. La tension retombe. Il m’épuise. Je me faufile sous les draps frais en me demandant ce que mes parents me réservent comme surprise. Il faut que je me repose. De toute façon je n’ai rien envie de faire. Fermer les yeux. Oui, juste fermer les yeux, écouter les cigales chanter et me déconnecter du monde réel ; ne penser à rien. 16h40 Je commence à peine à me détendre quand la sonnerie du mon portable me ramène avec rudesse à la réalité. Je m’empresse d’activer le mode silencieux avant de consulter le message qui vient sans surprise de mon oncle. « Je peux te montrer quelque chose ? » « Depuis quand tu demandes mon assentiment ? » « Fière de toi ? » Quelque chose m’échappe mais je ne tarde pas à comprendre. Une photo de sa bite en érection apparait quelques instants plus tard sur mon écran. Il est allongé sur son lit, j’aperçois ma robe de plage posée sur l’édredon contre sa cuisse. En arrière plan je distingue Céline assise par terre de dos. Les yeux rivés sur l’écran, je décortique l’image. Ma gorge se serre. Il tient sa queue fièrement dressée entre son pouce et son index. Elle semble distendue, gorgée de désir. J’agrandis la photo étudie chaque détail et serre les cuisses. Son gland ...
    ... rond et brillant, les veines qui parcourent la peau fine, la boursoufflure de son prépuce distendu. Je la veux en moi. Je veux la sentir, la goûter, l’endurer. Une chaleur diffuse irradie mon ventre, les conséquences de mon envie coupable se manifestent déjà humidifiant l’orée de mes cuisses. "Elle pourrait me sucer pendant que je pense à toi..." "Ou tu pourrais me réserver ce plaisir." "Je retiens ta proposition mais il faut que je me vide, je n’en peux plus." Quel poète ! "Alors qu’elle te suce !" "Ne te fâche pas d’avantage, j’ai quelque chose à te proposer. Cette fois ci, c’est elle qui me suce pendant que je pense à toi et à ce que je vais te faire endurer très bientôt. Je ne te dévoilerai rien de mes desseins mais tu peux tenter de les deviner. Promets-moi simplement de m’obéir pour le reste de la journée." Aurais-je eu raison de sa morale défaillante? Mes provocations quotidiennes auraient-elles fini par faire céder les remparts de sa conscience ? Comment savoir ? Je réfléchis à toute vitesse. Ne rien donner, imposer et aviser. Ce sont ses mots, ses directives. Il me les avait offertes l’année dernière quand Julien m’avait quittée et elles s’étaient révélées particulièrement efficaces. "Je ne te promets rien mais je réfléchirai à ta proposition si tu filmes la scène à son insu et que je la visionne en direct." Je ne suis vraiment pas sûre de mon coup, c’est peut être trop. "Tu me surprends de jour en jour. Je fais ce que tu me demandes à une condition : ce soir tu portes ...
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