1. Hautefort au mois d'août. (4)


    Datte: 16/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... une robe et pas de lingerie. Et ne te caresse pas. Je suis sérieux ! Pas de bêtises en regardant la vidéo. Préserve-toi pour moi. J’ai besoin de ta frustration." Je suis déjà dans un état presque second. Mon désir ardent coule entre mes cuisses. Il ne peut pas m’imposer cette torture. Encore un message : "Dernière chose : reste parfaitement silencieuse" suivi d’un appel en visio que je m’empresse d’accepter. Il a posé son téléphone très près du lit. J’ai une vue tout à fait dégagée sur sa superbe bite. Je le vois remuer les lèvres et comprends que je ne bénéficierai pas du son. Peu importe. Céline se lève et grimpe sur le lit. Il semblerait qu’elle lui obéisse en toutes circonstances. Cette femme est un mystère pour moi. Elle approche son doux visage de la bite congestionnée de son mari. D’une main experte, elle finit de décalotter son gland luisant. Elle joue un peu avec, caresse ses couilles du bout des doigts, tire doucement sur la peau fripée et les cajole au creux de sa paume. Il jette alors un coup d’œil à mon attention tout en lui caressant les cheveux puis déploie lentement ses doigts sur l’arrière de son crâne et lui fait gober entièrement son engin. Elle ne se rebiffe pas et continue docilement à satisfaire les envies impérieuses de son homme. Ses joues se creusent, il retient ses cheveux dans sa poigne et accompagne son va et vient. Il ne la ménage pas, soulevant ses fesses du matelas pour mieux assiéger ses lèvres. Les mouvements de son bassin lui donnent le ...
    ... rythme à adopter. Je voudrais l’aider, prendre le relais. Elle accélère la cadence. Il me fixe intensément derrière l’écran, son expression change, ses doigts se crispent et tirent les draps. Une dernière saccade et il se libère violement au fond de la gorge de Céline. Je n’ai pas le temps de voir son visage que l’écran devient noir. 18h20 Assise en bas des escaliers, impatiente comme une enfant, j’attends qu’on m’annonce l’objet de ma surprise. Ils descendent enfin. — « Charlie ta mère voudrait te parler avant qu’on y aille. Elle est dans la chambre. » m’annonce mon père en me posant la main sur l’épaule. La pièce est plongée dans la pénombre, je distingue à peine ma mère, elle est allongée. J’ai déjà vécu ce moment, j’hésite un peu : - « Maman ? - Viens ma chérie dit-elle en me tendant faiblement la main. Je m’assieds précautionneusement sur le lit. - Encore une migraine ? - Oui. Je voulais juste te dire de profiter de ta surprise. J’aurais aimé passer ce moment avec toi. Dans quelques jours tu prends ton envol. Je ne t’ai pas vu grandir mon bébé. Elle ferme les yeux. Une larme perle au coin de ses paupières puis roule sur sa joue. - Moi aussi je t’aime maman. Je te raconterai tout. Repose-toi. » Je balaie la larme du bout de mon pouce et la laisse seule dans le noir. Je retrouve les autres dans l’entrée où mon père me tend une enveloppe en vélin champagne : - "Comme tu as brillamment réussi ton bac, voici une petite part de rêve. " m’annonce-t-il. Je déchire l’enveloppe pour ...
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